Ca fait un moment qu'on en parle au gré de nos rencontres, mais je ne vois pas où se trouve le résumé de nos échanges à ce sujet, d'où l'ouverture de ce post.
il s'agit ici de traiter non pas de la magie à la façon du médiéval fantastique tolkiénien mais de celle qui pourrait être admise comme "historique" parce que liée aux pratiques chamaniques et sorcières diverses pratiquées sur tous les continents jusqu'à des époques pas si reculées que ça.
Si je prends la période "arthurienne" nous assistons à la rencontre de pratiques cultuelles et culturelles diverses et souvent antagonistes :
Des "chamans" et druides de religions païennes (chez les Pictes, les Scots, les Saxons et autres peuples germaniques);
Des bardes chez les peuples de tradition celtique mais peut-être aussi germanique (je ne sais pas en fait ?)
Des moines et des prêtres chez les Bretons et autres Romains tardifs avec probablement des pratiques druidiques encore vivantes mais cachées.
Ces différents personnages étant représentés par des figurines, il serait intéressant de leur offrir un rôle spécifique durant nos aventures, notamment la possibilité de jeter des sorts.
Mais pour que ces sorts gardent une approche "historique" nous nous accordons à dire qu'il ne peuvent être extrêmement puissants comme ils le sont dans la littérature med'fan'.
Je laisse à Patrice le soin de définir les règles à appliquer mais voici quelques idées :
- Changer ou réduire les effets de la météo (en lien avec les dés météo)
- Ralentir l'ennemi
- Galvaniser la troupe et/ou effrayer l'ennemi (pour le Barde notamment)
- Connaître l'intention de l'ennemi (oblige l'ennemi à se déplacer le 1er)
- Faire descendre la grâce divine (sauve un héros de la mort)
Il pourrait être intéressant que la présence d'un moine ou prêtre réduise l'efficacité des pratiques des représentants des religions premières pour signifier l'emprise grandissante du christianisme sur les mentalités contemporaines (du moins du côté britto-romain.
Evidemment ce type d'action devrait avoir une durée limitée et surtout n'être possible qu'après un profond recueillement ou une longue préparation(càd un certain nombre de tours, ou une fois par jour seulement) afin de limiter la tentation de balancer des sorts à tours de bras tout au long de la partie.
il s'agit ici de traiter non pas de la magie à la façon du médiéval fantastique tolkiénien mais de celle qui pourrait être admise comme "historique" parce que liée aux pratiques chamaniques et sorcières diverses pratiquées sur tous les continents jusqu'à des époques pas si reculées que ça.
Si je prends la période "arthurienne" nous assistons à la rencontre de pratiques cultuelles et culturelles diverses et souvent antagonistes :
Des "chamans" et druides de religions païennes (chez les Pictes, les Scots, les Saxons et autres peuples germaniques);
Des bardes chez les peuples de tradition celtique mais peut-être aussi germanique (je ne sais pas en fait ?)
Des moines et des prêtres chez les Bretons et autres Romains tardifs avec probablement des pratiques druidiques encore vivantes mais cachées.
Ces différents personnages étant représentés par des figurines, il serait intéressant de leur offrir un rôle spécifique durant nos aventures, notamment la possibilité de jeter des sorts.
Mais pour que ces sorts gardent une approche "historique" nous nous accordons à dire qu'il ne peuvent être extrêmement puissants comme ils le sont dans la littérature med'fan'.
Je laisse à Patrice le soin de définir les règles à appliquer mais voici quelques idées :
- Changer ou réduire les effets de la météo (en lien avec les dés météo)
- Ralentir l'ennemi
- Galvaniser la troupe et/ou effrayer l'ennemi (pour le Barde notamment)
- Connaître l'intention de l'ennemi (oblige l'ennemi à se déplacer le 1er)
- Faire descendre la grâce divine (sauve un héros de la mort)
Il pourrait être intéressant que la présence d'un moine ou prêtre réduise l'efficacité des pratiques des représentants des religions premières pour signifier l'emprise grandissante du christianisme sur les mentalités contemporaines (du moins du côté britto-romain.
Evidemment ce type d'action devrait avoir une durée limitée et surtout n'être possible qu'après un profond recueillement ou une longue préparation(càd un certain nombre de tours, ou une fois par jour seulement) afin de limiter la tentation de balancer des sorts à tours de bras tout au long de la partie.