Le casting :
Broccius, chef gallo-romain : Patrice
Ermanius, officier de cavalerie au service de l'évêque : Alain
Dyonisius, chef gallo-romain, maître de la ville de Gwynrann (Guérande) : Denis
Hilario, "honnête" marchand, maître du port de Corbilo : Noé
Morwenna, aventurière bretonne : Dominique
Kanna, aventurière bretonne, soeur de Morwenna : Anne-Pauline
Les PNJs : Mézigue
Alors voilà. Nous avons donc vu Kynwyl et ses moines et suivants, se faire massacrer sur leur lieu de travail, par une troupe de mercenaires peu regardants, qui ont préféré taper sur d'innocentes victimes, plutôt que de rentrer bredouilles. On les comprend. Et vous-mêmes, qu'auriez-vous fait à leur place ?
Seulement voilà, Broccius, le commanditaire de cette expédition, est bien emmouisé. C'est la tête de l'évêque Nonnechius qu'il voulait, pas celle des moines. Ayant retrouvé l'évêque bien vivant, et compris que les spadassins engagés l'avaient leurré en lui livrant la tête de pauvres moines gallois qui n'avaient rien demandé (en tous cas pas ce cruel destin), il se trouve obligé, avant toute autre chose, de faire disparaître les restes des victimes, le plus discrètement possible, et assez loin du lieu de leur massacre.
Broccius a donc décidé le lendemain même (on ne roule pas de nuit, ça n'est pas prudent) de se rendre dans un port (Corbilo*) où il connaît un marchand, Hilario, avec qui il trafique régulièrement. Il pense qu'il n'y aura pas de souci pour faire embarquer les reliques sur un bateau, et les jeter lestées de pierre au fond de l'océan.
Dans le même temps, l'évêque Nonnechius, se sentant peu en confiance et flairant que Broccius n'est pas innocent dans le massacre des moines (dont les têtes n'ont pas été retrouvées), a décidé de regagner Portus Namnetum (Nantes) avec une escorte réduite ; et d'envoyer l'autre partie de son escorte, dirigée par Ermanius, officier de cavalerie d'origine gothe, surveiller les agissements de Broccius et, le cas échéant voire évident, le confondre. Mais attention, Broccius devra être pris vivant.
Cependant, l'urgence est de récupérer les chefs (les têtes, quoi) des moines ; ce qui permettra d'établir s'il y a ou non sacrilège de la part de Broccius.
Dans le même temps Dyonisius, chef gallo-romain du bourg de Gwynrann (Guérande), qui a repris aux Francs le village de Camolinos, s'en retourne chez lui, en attendant que les villageois de Camolinos se choisissent un chef.
Mais alors qu'il s'en retourne vers l'ouest, il rencontre un marchand de chevaux qui fournit ses écuries, et qui se plaint d'avoir été attaqué par une troupe de brigands, qui lui ont volé huit chevaux qui étaient destinés à Dyonisius. Les brigands seraient partis vers l'est.
Dyonisius soupçonne de suite Hilario, ce marchand qui se livre au trafic et au recel à Corbilo.
Il décide donc de lui rendre une petite visite. Les chevaux ayant une marque spécifique, il sera facile de les identifier.
Voilà, jusqu'ici vous avez suivi ? Hé bien, c'est tant mieux... parce que pour la suite, il va falloir attendre demain.
Le port de Corbilo au Vème siècle. Comment, vous avez des doutes ? Hé bien moi j'y étais, et je sais ce que je dis !
Et surtout, ne faites pas attention au boxon en arrière plan.
* Alors oui, selon les historiens anciens, Corbilo est censé être l'actuel port de Saint Nazaire ; mais des recherches récentes semblent infirmer cette théorie, le port de Corbilo se serait en fait trouvé plus à l'ouest... mais bon, là on va dire que c'est à l'emplacement de Saint-Nazaire, Ho Hé, vous allez me lâcher la grappe oui ?
Broccius, chef gallo-romain : Patrice
Ermanius, officier de cavalerie au service de l'évêque : Alain
Dyonisius, chef gallo-romain, maître de la ville de Gwynrann (Guérande) : Denis
Hilario, "honnête" marchand, maître du port de Corbilo : Noé
Morwenna, aventurière bretonne : Dominique
Kanna, aventurière bretonne, soeur de Morwenna : Anne-Pauline
Les PNJs : Mézigue
Alors voilà. Nous avons donc vu Kynwyl et ses moines et suivants, se faire massacrer sur leur lieu de travail, par une troupe de mercenaires peu regardants, qui ont préféré taper sur d'innocentes victimes, plutôt que de rentrer bredouilles. On les comprend. Et vous-mêmes, qu'auriez-vous fait à leur place ?
Seulement voilà, Broccius, le commanditaire de cette expédition, est bien emmouisé. C'est la tête de l'évêque Nonnechius qu'il voulait, pas celle des moines. Ayant retrouvé l'évêque bien vivant, et compris que les spadassins engagés l'avaient leurré en lui livrant la tête de pauvres moines gallois qui n'avaient rien demandé (en tous cas pas ce cruel destin), il se trouve obligé, avant toute autre chose, de faire disparaître les restes des victimes, le plus discrètement possible, et assez loin du lieu de leur massacre.
Broccius a donc décidé le lendemain même (on ne roule pas de nuit, ça n'est pas prudent) de se rendre dans un port (Corbilo*) où il connaît un marchand, Hilario, avec qui il trafique régulièrement. Il pense qu'il n'y aura pas de souci pour faire embarquer les reliques sur un bateau, et les jeter lestées de pierre au fond de l'océan.
Dans le même temps, l'évêque Nonnechius, se sentant peu en confiance et flairant que Broccius n'est pas innocent dans le massacre des moines (dont les têtes n'ont pas été retrouvées), a décidé de regagner Portus Namnetum (Nantes) avec une escorte réduite ; et d'envoyer l'autre partie de son escorte, dirigée par Ermanius, officier de cavalerie d'origine gothe, surveiller les agissements de Broccius et, le cas échéant voire évident, le confondre. Mais attention, Broccius devra être pris vivant.
Cependant, l'urgence est de récupérer les chefs (les têtes, quoi) des moines ; ce qui permettra d'établir s'il y a ou non sacrilège de la part de Broccius.
Dans le même temps Dyonisius, chef gallo-romain du bourg de Gwynrann (Guérande), qui a repris aux Francs le village de Camolinos, s'en retourne chez lui, en attendant que les villageois de Camolinos se choisissent un chef.
Mais alors qu'il s'en retourne vers l'ouest, il rencontre un marchand de chevaux qui fournit ses écuries, et qui se plaint d'avoir été attaqué par une troupe de brigands, qui lui ont volé huit chevaux qui étaient destinés à Dyonisius. Les brigands seraient partis vers l'est.
Dyonisius soupçonne de suite Hilario, ce marchand qui se livre au trafic et au recel à Corbilo.
Il décide donc de lui rendre une petite visite. Les chevaux ayant une marque spécifique, il sera facile de les identifier.
Voilà, jusqu'ici vous avez suivi ? Hé bien, c'est tant mieux... parce que pour la suite, il va falloir attendre demain.
Le port de Corbilo au Vème siècle. Comment, vous avez des doutes ? Hé bien moi j'y étais, et je sais ce que je dis !
Et surtout, ne faites pas attention au boxon en arrière plan.
* Alors oui, selon les historiens anciens, Corbilo est censé être l'actuel port de Saint Nazaire ; mais des recherches récentes semblent infirmer cette théorie, le port de Corbilo se serait en fait trouvé plus à l'ouest... mais bon, là on va dire que c'est à l'emplacement de Saint-Nazaire, Ho Hé, vous allez me lâcher la grappe oui ?