La justification de l'avantage de longueur des haches à deux mains et épées à deux mains (armes "semi-longues" qui tapent donc avant les épées) a parfois été mise en cause, en demandant si cet avantage est réaliste.
Je pense qu'il l'est, et que l'allonge est redoutable contre l'adversaire qui arrive ...au moins tant qu'il n'est pas passé dessous. La question pourrait être posée après le premier tour de contact en mêlée.
Je soulève ça car il y a eu récemment une question sur l'allonge des baïonnettes en XVIIIe-XIXe siècles. Là aussi, enfin si l'adversaire est très motivé (Huron ou Iroquois, Highlander, et peut-être guérilla espagnol ou Chouan tant qu'il a un super-moral) une fois arrivé au corps-à-corps il n'est pas sûr que le long fusil à baïonnette garde un avantage.
Il n'y a pas d'hérésie à y réfléchir ; la règle admet (depuis 1996) que la lance lourde de chevalerie ne peut être utilisée qu'au premier tour de mêlée ; et (depuis quelques années) que la longue pique d'infanterie peut être maniée au premier tour de mêlée sans être en formation serrée.
Je pense qu'il l'est, et que l'allonge est redoutable contre l'adversaire qui arrive ...au moins tant qu'il n'est pas passé dessous. La question pourrait être posée après le premier tour de contact en mêlée.
Je soulève ça car il y a eu récemment une question sur l'allonge des baïonnettes en XVIIIe-XIXe siècles. Là aussi, enfin si l'adversaire est très motivé (Huron ou Iroquois, Highlander, et peut-être guérilla espagnol ou Chouan tant qu'il a un super-moral) une fois arrivé au corps-à-corps il n'est pas sûr que le long fusil à baïonnette garde un avantage.
Il n'y a pas d'hérésie à y réfléchir ; la règle admet (depuis 1996) que la lance lourde de chevalerie ne peut être utilisée qu'au premier tour de mêlée ; et (depuis quelques années) que la longue pique d'infanterie peut être maniée au premier tour de mêlée sans être en formation serrée.