Puisqu'on se pose la question de jouer sur des surfaces assez limitées, je ressors une idée... qui n'est pas vraiment originale, ça se fait en JdR genre exploration de donjon, mais je ne crois pas l'avoir vu souvent en jeu d'escarmouche.
Pour un scénario genre linéaire : une route à parcourir, avec des rencontres ici et là. On commence la partie avec 3 plaque des terrain (disons, de 120 cm x 60 cm ce qui fait en tout une surface de 120 cm x 180 cm seulement).
Les personnages (une seule troupe, ou deux troupes alliées, ou deux troupes qui se poursuivent, etc.) entrent par la gauche de la table, plaque A ou B.
Au bout d'un moment, ils passent sur la plaque C.
Les plaques A et B sont alors enlevées et vidées de leurs éléments de terrain. La plaque C est doucement glissée à la gauche de la table (avec ses décors et personnages toujours dessus). Les plaques A et B (ou d'autres plaques de mêmes dimensions) sont alors placées à droite, avec des décors différents.
Et ainsi de suite, si on veut prolonger le parcours. Etc. etc.
Différences (à première vue, faut voir à l'usage) avec les scénarios classiques :
– Les troupes ne peuvent pas aller très loin sur les côtés de la route... mais ça reste assez réaliste car quand on a du chemin à faire on ne passe pas son temps à explorer tous les recoins et ruines qu'on aperçoit au loin (ce qu'on veut toujours faire quand on joue sur une grande table).
– Ça ne peut pas accueillir beaucoup de joueurs ...mais ça peut permettre de jouer à un MJ + un seul joueur, ou un MJ et deux personnages joueurs alliés, ou qui se poursuivent.
– Les rencontres sur le chemin seraient surtout, ou seulement, des PNJ. Il est peut-être possible de faire intervenir un ou deux joueurs adverses à des endroits du parcours où la route est plus élargie, au signal du MJ, il faut bien sûr que ces intervenants ne raisonnent pas comme pour une bataille rangée classique.
– Le MJ doit avoir bien prévu ses plans, et être assez rapide pour faire les changements de décor...
Il peut bien sûr y avoir une ou deux plaques en plus s'il y a plus de place. Et/ou des plaques préparées d'avance, si on a la place de les garder (cachées derrière un paravent) dans un coin de la pièce.
Pour un scénario genre linéaire : une route à parcourir, avec des rencontres ici et là. On commence la partie avec 3 plaque des terrain (disons, de 120 cm x 60 cm ce qui fait en tout une surface de 120 cm x 180 cm seulement).
Les personnages (une seule troupe, ou deux troupes alliées, ou deux troupes qui se poursuivent, etc.) entrent par la gauche de la table, plaque A ou B.
Au bout d'un moment, ils passent sur la plaque C.
Les plaques A et B sont alors enlevées et vidées de leurs éléments de terrain. La plaque C est doucement glissée à la gauche de la table (avec ses décors et personnages toujours dessus). Les plaques A et B (ou d'autres plaques de mêmes dimensions) sont alors placées à droite, avec des décors différents.
Et ainsi de suite, si on veut prolonger le parcours. Etc. etc.
Différences (à première vue, faut voir à l'usage) avec les scénarios classiques :
– Les troupes ne peuvent pas aller très loin sur les côtés de la route... mais ça reste assez réaliste car quand on a du chemin à faire on ne passe pas son temps à explorer tous les recoins et ruines qu'on aperçoit au loin (ce qu'on veut toujours faire quand on joue sur une grande table).
– Ça ne peut pas accueillir beaucoup de joueurs ...mais ça peut permettre de jouer à un MJ + un seul joueur, ou un MJ et deux personnages joueurs alliés, ou qui se poursuivent.
– Les rencontres sur le chemin seraient surtout, ou seulement, des PNJ. Il est peut-être possible de faire intervenir un ou deux joueurs adverses à des endroits du parcours où la route est plus élargie, au signal du MJ, il faut bien sûr que ces intervenants ne raisonnent pas comme pour une bataille rangée classique.
– Le MJ doit avoir bien prévu ses plans, et être assez rapide pour faire les changements de décor...
Il peut bien sûr y avoir une ou deux plaques en plus s'il y a plus de place. Et/ou des plaques préparées d'avance, si on a la place de les garder (cachées derrière un paravent) dans un coin de la pièce.