Ah oui mais il faut aussi tenir compte de la dérivée seconde de √π/∂3 dans le cas où l’intégrale de ∑ est ≤ à +∞ !
Ça ne posait guère de problèmes en médiéval (où on jouait peu de tireurs avec l'ancienne règle) car ce côté "petite chance minime en plus" était bien perçu par les joueurs. Là c'est peut-être le fait que quasiment toutes les figs aient un fusil, et que les portées aient été raccourcies, qui donne le sentiment que c'est une limitation ?
Dans l'exemple cité par Ehouarn : un Indien qui tire sur un ennemi dans les broussailles à courte portée. Oui il a -1 habituel, et -1 à cause des broussailles, effectivement c'est frustrant. Je donne trois éléments de réponse :
- si l'ennemi est un groupe d'Européens qui paradent sans trop se cacher, on pourrait en effet contester qu'il bénéficie de la protection, là oui il y aurait un truc à revoir dans le tableau de terrain.
- si l'ennemi se cache et ne se montre que pour tirer, je doute qu'un Indien solitaire passe du temps à jouer au tir au pigeon réciproque, est-ce choquant qu'il lui soit quasi-impossible de toucher tout seul au fusil alors que son tomahawk lui chatouille la main...
- mais s'il le veut vraiment, une règle optionnelle pourra lui permettre de bien viser (bonus +1) si le joueur estime que c'est plus important que le reste de la bataille.
Ceci dit, je me rends compte que dans les cas tendus où je veux bouger en prévoyant vaguement un choix difficile, le dialogue n'est pas :
Joueur A : "Je fais ça."
Joueur B : "Alors je fais ça."
etc
Mais que je demande directement : "Si je fais ça, tu fais quoi, tu restes là ou tu t'en vas ?" Ainsi les réponses et les solutions viennent plus vite. Le deuxième à parler est maître de ses réactions à mes actions, mais c'est quand même bien moi qui vais finalement choisir mon action.
MerciDids a écrit:J'intègre la discussion sur le point de vue purement technique.
Le "7" n'a jamais été conçu comme une diminution progressive à longue portée, mais comme une petite possibilité de réaliser un truc normalement impossible car quasiment hors de portée ou trop protégé : soit par un tir à plusieurs sur la même cible (là il y a une chance assez sérieuse que ça passe), soit par un énorme coup de bol pour un tireur individuel.Dids a écrit:Du côté des tirs, pour à peu près toutes les armes on a une diminution de la capacité de toucher en fonction de la portée(...)J'avoue que pour moi aussi, la réduction semble drastique
Ça ne posait guère de problèmes en médiéval (où on jouait peu de tireurs avec l'ancienne règle) car ce côté "petite chance minime en plus" était bien perçu par les joueurs. Là c'est peut-être le fait que quasiment toutes les figs aient un fusil, et que les portées aient été raccourcies, qui donne le sentiment que c'est une limitation ?
Dans l'exemple cité par Ehouarn : un Indien qui tire sur un ennemi dans les broussailles à courte portée. Oui il a -1 habituel, et -1 à cause des broussailles, effectivement c'est frustrant. Je donne trois éléments de réponse :
- si l'ennemi est un groupe d'Européens qui paradent sans trop se cacher, on pourrait en effet contester qu'il bénéficie de la protection, là oui il y aurait un truc à revoir dans le tableau de terrain.
- si l'ennemi se cache et ne se montre que pour tirer, je doute qu'un Indien solitaire passe du temps à jouer au tir au pigeon réciproque, est-ce choquant qu'il lui soit quasi-impossible de toucher tout seul au fusil alors que son tomahawk lui chatouille la main...
- mais s'il le veut vraiment, une règle optionnelle pourra lui permettre de bien viser (bonus +1) si le joueur estime que c'est plus important que le reste de la bataille.
Je pense que ça prend bien moins de temps qu'en alterné où on attend que l'autre ait bougé, puis on le fait attendre le temps de bouger soi-même, etc.Dids a écrit:Ce qui va ensuite "prendre du temps" c'est si les deux officiers ne peuvent se mettre d'accord, chacun voulant "imposer" son ordre
Ceci dit, je me rends compte que dans les cas tendus où je veux bouger en prévoyant vaguement un choix difficile, le dialogue n'est pas :
Joueur A : "Je fais ça."
Joueur B : "Alors je fais ça."
etc
Mais que je demande directement : "Si je fais ça, tu fais quoi, tu restes là ou tu t'en vas ?" Ainsi les réponses et les solutions viennent plus vite. Le deuxième à parler est maître de ses réactions à mes actions, mais c'est quand même bien moi qui vais finalement choisir mon action.
Dans quelques cas particuliers il ne serait pas entièrement choquant de prendre les tirs en compte avant le mouvement. Je pense à une situation où un groupe voudrait tirer (avec malus) puis reculer 1/2 mouvement devant des ennemis qui avancent 1/2 mouvement puis tirent (avec malus). Dans ce cas précis il ne faut pas être plus bête que la règle, dans la réalité le tir des fuyards a lieu avant le tir des attaquants.Dids a écrit:Ce qui me dérange, c'est juste que l'on ne puisse pas choisir réellement ce que l'on fait, je tire et je bouge ou je combat et je bouge.. et non je bouge, je tire, je combat (...) pourquoi ne pas pouvoir tirer avant que l'adversaire ne bouge ?
Dernière édition par Patrice le Ven 31 Déc 2010 - 19:15, édité 1 fois