Pour répondre à une question sur les ribaudequins dont la simple vue a causé une terreur abjecte à certains, il y a peu de temps
Il y en a au XIVe siècle : mentionnés à Bruges en 1339, et apparemment assez répandus dans les années 1380. A cette époque ce sont encore sans doute des petits tubes, semblables ou à peine plus gros que les canons à mains.
Je suggère donc de faibles performances similaires à celles du canon à main, et très peu de maniabilité. Même principe que pour les tromblons et pierriers des pirates et les armes automatiques modernes : deux dés rouges et plusieurs dés blancs, afin de ne pas toucher à coup sûr mais quand il touche ça peut faire mal.
Ribaudequin
Le ribaudequin fait partie de l’« artilerie » (artillerie médiévale). C’est une petite charrette à deux roues sur laquelle sont fixés plusieurs traits à poudre. Ses canons, encore petits au XIVe siècle, tirent tous en même temps, ce qui peut être utile pour défendre un passage étroit à peu de distance.
Le ribaudequin est souvent muni d’un petit mantelet de bois épais, qui protège un peu le tireur placé derrière (protection –1 due au terrain).
Le ribaudequin peut être déplacé en le poussant ou en le traînant à la main (mouvement : 8 cm par tour), mais il doit être immobile pour tirer. Il doit aussi être immobile quand on le recharge. On peut l’atteler à un animal, mais pas tirer attelé.
Quand le ribaudequin tire, le joueur jette autant de dés qu’il y a de tubes ; deux de ces dés sont rouges, les autres sont blancs (ou de n’importe quelle couleur différente). Si au moins l’un des dés rouges réussit, on tient compte de tous les dés qui réussissent ; si aucun dé rouge ne touche, tout le tir est raté.
* deux dés rouges, plus un dé blanc par tube au-delà de deux.
* +1 contre un groupe
* tire immobile et non attelé ; rechargé en un tour immobile par tube
0-10 cm : 6
10-20 cm : 7
20-30 cm : 8
EDIT possible : voir plus bas
Il y en a au XIVe siècle : mentionnés à Bruges en 1339, et apparemment assez répandus dans les années 1380. A cette époque ce sont encore sans doute des petits tubes, semblables ou à peine plus gros que les canons à mains.
Je suggère donc de faibles performances similaires à celles du canon à main, et très peu de maniabilité. Même principe que pour les tromblons et pierriers des pirates et les armes automatiques modernes : deux dés rouges et plusieurs dés blancs, afin de ne pas toucher à coup sûr mais quand il touche ça peut faire mal.
Ribaudequin
Le ribaudequin fait partie de l’« artilerie » (artillerie médiévale). C’est une petite charrette à deux roues sur laquelle sont fixés plusieurs traits à poudre. Ses canons, encore petits au XIVe siècle, tirent tous en même temps, ce qui peut être utile pour défendre un passage étroit à peu de distance.
Le ribaudequin est souvent muni d’un petit mantelet de bois épais, qui protège un peu le tireur placé derrière (protection –1 due au terrain).
Le ribaudequin peut être déplacé en le poussant ou en le traînant à la main (mouvement : 8 cm par tour), mais il doit être immobile pour tirer. Il doit aussi être immobile quand on le recharge. On peut l’atteler à un animal, mais pas tirer attelé.
Quand le ribaudequin tire, le joueur jette autant de dés qu’il y a de tubes ; deux de ces dés sont rouges, les autres sont blancs (ou de n’importe quelle couleur différente). Si au moins l’un des dés rouges réussit, on tient compte de tous les dés qui réussissent ; si aucun dé rouge ne touche, tout le tir est raté.
* deux dés rouges, plus un dé blanc par tube au-delà de deux.
* +1 contre un groupe
* tire immobile et non attelé ; rechargé en un tour immobile par tube
0-10 cm : 6
10-20 cm : 7
20-30 cm : 8
EDIT possible : voir plus bas
Dernière édition par Patrice le 28/8/2013, 10:18, édité 1 fois