Theix 2012, je commence !

Bon... en attendant les meilleurs reportages qui ne devraient pas tarder, voici quelques-unes de mes mauvaises photos habituelles (et de samedi seulement, car dimanche ma carte-mémoire a perdu la tête !)

Tout d'abord, une vue de la rade de l'île de la Tortue (il y avait quatre tables, la Tortue était la possession française)


Sur cette île, le fort du Rocher


Le gouverneur de Toulvarère n'avait point ménagé ses efforts pour améliorer la richesse et la prospérité de la colonie, en encourageant l'installation d'ouvrages et d'industries afin de bien servir les intérêts de Sa Majesté.

Il fut donc le premier surpris par l'usage inattendu qui en était fait, lorsqu'on découvrit un marin écrasé dans le pressoir à cannes à sucre !


...et quelques heures plus tard, quand un caporal des Compagnies Franches de la Marine fut retrouvé noyé (et un peu bleui) dans une cuve à indigo


Il ne fut point informé, par contre, d'une nouvelle moins morbide et plus légère mais qui ne l'eût guère réjoui non plus : que Mademoiselle Clotirisse, sa nièce bien-aimée, éprouvait un grand bonheur dans les bras du capitaine corsaire Le Hir de Lostebras (bonheur apparemment agrémenté par le romantisme de l'endroit qui leur servit de lit : une vieille tombe sur une colline surplombant la mer).

On distingue, un peu plus loin, un valet indien de ce capitaine occupé à la même occupation avec l'une des servantes de la demoiselle, qui était censée chaperonner celle-ci ; ainsi que le jeune page du même capitaine, occupé à la même occupation tout seul en observant les deux scènes.

Voix off :

les objectifs du Gouverneur de Toulvarère sont les suivants : Suite à ses déboires il y a quelques mois avec l’affaire « Margaux », Monsieur de Toulvarère cherche à retrouver une complète sécurité dans sa position. Ses éclats lors du siège de Curaço l’ayant conforté dans ses capacités de meneur d’hommes et la fourberie des Espagnols, venus profiter de la faiblesse de Monsieur de Margaux, l’ont encouragé à entreprendre le plus largement possible des actions contre les Espagnols. Une guerre ouverte n’étant pas possible. Il lui faut donc ruser et agir par personne interposée.
La flotte ayant du rentrer en France, Monsieur de Toulvarère ne peut compter que sur les navires de capitaines mi-corsaires mi-aventuriers comme le capitaine le Hir de Lostebras ou Malo du Kern

Dids a écrit:Voix off :

les objectifs du Gouverneur de Toulvarère

...et lesdits objectifs sont également, bien sûr, comme tout gouverneur et tout officier de Sa Majesté, de protéger les interêts du Roi et de Ses sujets, la prospérité du royaume et le commerce des marchands naviguant sous pavillon français qui ne sauraient être attaqués malproprement ni contraints de quelque façon que ce soit, ce qui est contraire au droit des gens ; en un mot le respect de ce qui appartient à Sa Majesté qui ne saurait souffrir qu'on maltraitât ainsi Ses sujets.