Lancé dans la peinture de mes figurines médiévales, je suis en train de mettre la main à quelques sergents montés (figs Fireforge en plastique).
Ce qui m'a permis d'apprendre sur le site Internet du Temple du Jeu que le sergent monté est " le rang ultime auquel un simple paysan peut aspirer ".
"Cela demande à un homme d’arme des années de service, et seul un acte de bravoure peut lui permettre une telle promotion.
Étant donné qu’aucun paysan de souche n’a le droit de chevaucher les destriers des nobles, les Sergents Montés vont au combat sur des chevaux de trait."
" Ils sont souvent envoyés en reconnaissance afin de garder les Chevaliers informés des mouvements ennemis. C’est une tâche dangereuse et ingrate, c’est pourquoi la noblesse pense à juste titre qu’elle convient mieux à des paysans. "
"Tous les hommes d’armes rêvent de devenir un jour sergent, en grande partie à cause des histoires parlant de sergents adoubés Chevaliers grâce à leurs services fidèles ou leur courage au combat. En réalité, cela ne s’est presque jamais produit, les nobles ne souhaitant pas mêler leur sang à celui de la vulgaire roture."
Ce qui m'a permis d'apprendre sur le site Internet du Temple du Jeu que le sergent monté est " le rang ultime auquel un simple paysan peut aspirer ".
"Cela demande à un homme d’arme des années de service, et seul un acte de bravoure peut lui permettre une telle promotion.
Étant donné qu’aucun paysan de souche n’a le droit de chevaucher les destriers des nobles, les Sergents Montés vont au combat sur des chevaux de trait."
" Ils sont souvent envoyés en reconnaissance afin de garder les Chevaliers informés des mouvements ennemis. C’est une tâche dangereuse et ingrate, c’est pourquoi la noblesse pense à juste titre qu’elle convient mieux à des paysans. "
"Tous les hommes d’armes rêvent de devenir un jour sergent, en grande partie à cause des histoires parlant de sergents adoubés Chevaliers grâce à leurs services fidèles ou leur courage au combat. En réalité, cela ne s’est presque jamais produit, les nobles ne souhaitant pas mêler leur sang à celui de la vulgaire roture."