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Le tir de pistolet de cavalerie XVIe-XVIIe siècles juste avant le contact, au lieu de frapper à l'épée, a suscité des questions. La règle n'est sans doute pas encore satisfaisante pour ce point précis.
Le tir au pistolet pouvait être utilisé avant de charger à l'épée, mais aussi parfois préféré contre des ennemis bien armurés (surtout si on n'a pas de lance) car il perce mieux l'armure qu'un coup d'épée.
C'est moins le cas aux époques plus tardives, XVIIIe et XIXe siècles (les gens étant moins ou pas du tout armurés) la charge au sabre est alors toujours conseillée plutôt que le tir (même encore au début du XXe siècle alors que des revolvers sont disponibles).
Il y a eu plusieurs hésitations et modifs de ce point de règle précis au fil des années. Pendant un moment la règle disait qu'un tir en arrivant au contact se faisait sans malus de mouvement, même en ayant bougé. L'idée était qu'on tire de près dans la tronche du gars en face. C'est toujours le cas dans la règle si on est à pied.
Mais on avait constaté (en guerre de Trente Ans) que ça permettait à des cavaliers classe 3 de décimer des cuirassiers lourds (armure 4*) sans en avoir aucune peur. Du coup le malus mouvement avait été réintroduit pour les montés arrivant au contact ...ce qui décourage le tir au pistolet.
L'erreur est peut-être d'avoir agi sur le malus, plutôt que sur le classement (armure 4*) des cuirassiers fin XVIe - début XVIIe, tellement lourds qu'ils ne sont pas très différents de l'armure 5.
Il y a d'ailleurs quelques hésitations, en jouant cette époque, sur le classement à attribuer aux personnages dotés d'une "demi-armure", ou d'une "armure trois-quarts" etc. La règle évite de créer trop de catégories pour ne pas rebuter les gens, mais sur ce coup-là la simplification semble créer plus de problèmes...
"De gauche à droite : dragon, demi-lancier, cuirassier. Tableau hollandais de Sebastiaan Vrancx, vers 1600-1615" (Wiki).
Le tir au pistolet pouvait être utilisé avant de charger à l'épée, mais aussi parfois préféré contre des ennemis bien armurés (surtout si on n'a pas de lance) car il perce mieux l'armure qu'un coup d'épée.
C'est moins le cas aux époques plus tardives, XVIIIe et XIXe siècles (les gens étant moins ou pas du tout armurés) la charge au sabre est alors toujours conseillée plutôt que le tir (même encore au début du XXe siècle alors que des revolvers sont disponibles).
Il y a eu plusieurs hésitations et modifs de ce point de règle précis au fil des années. Pendant un moment la règle disait qu'un tir en arrivant au contact se faisait sans malus de mouvement, même en ayant bougé. L'idée était qu'on tire de près dans la tronche du gars en face. C'est toujours le cas dans la règle si on est à pied.
Mais on avait constaté (en guerre de Trente Ans) que ça permettait à des cavaliers classe 3 de décimer des cuirassiers lourds (armure 4*) sans en avoir aucune peur. Du coup le malus mouvement avait été réintroduit pour les montés arrivant au contact ...ce qui décourage le tir au pistolet.
L'erreur est peut-être d'avoir agi sur le malus, plutôt que sur le classement (armure 4*) des cuirassiers fin XVIe - début XVIIe, tellement lourds qu'ils ne sont pas très différents de l'armure 5.
Il y a d'ailleurs quelques hésitations, en jouant cette époque, sur le classement à attribuer aux personnages dotés d'une "demi-armure", ou d'une "armure trois-quarts" etc. La règle évite de créer trop de catégories pour ne pas rebuter les gens, mais sur ce coup-là la simplification semble créer plus de problèmes...
"De gauche à droite : dragon, demi-lancier, cuirassier. Tableau hollandais de Sebastiaan Vrancx, vers 1600-1615" (Wiki).
