Merci pour ces contributions.
Ascestus a écrit:Et les fusiliers malins marin, les pieds dans l'eau
Eric de Gleievec a écrit:A courte portée uniquement, mais sans malus supplémentaire dans ce cas ?
Cela me semble assez cohérent.
On pourrait même ajouter une moyenne portée pour les "races" issues de la forêt (elfes sylvains par exemple).
La "moyenne portée" à Argad c'est quand même vachement long, pour l'arc ou arbalète tardive ou le fusil à silex c'est 20-40 cm, c'est le max qu'on peut faire sauf en tir massif ou avec un bol absolu (à longue portée il faut un double 6).
Je suggèrerais (mais à tester) que des personnages bien habitués (autochtones amérindiens, Elfes sylvains...) n'aient pas de malus à courte portée ; que le malus subsiste pour tirer contre eux ou contre de l'infanterie légère... mais sans malus contre des groupes informels (ou en ordre serré) non habitués à se planquer...
...le supplément pour les guerres d'Amérique de la seconde moitié du XVIIIe siècle est en cours de finition (sous réserve de tests) ce qui m'a aussi poussé à reposer la question
car là il y a des exemples précis, la distinction entre les troupes déjà bien habituées à la "petite guerre à la manière des sauvages" et celles ...récemment arrivées... qui ne connaissent que le feu de salve en ordre serré ...même dans les bois...
Ehouarn a écrit:J'ai toujours défendu le principe que certaines populations soient plus avantagées par certains types de terrains, ce qui permet de le prendre en compte dans l'écriture des scénarios.
Et oui les Elfes sylvestres doivent avoir plus de facilités dans les forêts que d'autres espèces dont ce n'est pas le lieu de vie
Oui, pour le mouvement c'est maintenant bien intégré de deux façons (même si ce n'est pas forcément cité dans les documents génériques mais ça va réapparaître dans les extensions par contexte) :
— Pour le XVIIIe et début XIXe siècle les soldats lourdement équipés (harnachement giberne etc.) ont un mouvement de 16 cm (comme les médiévaux en cotte de mailles) alors que ça ne leur apporte pas de protection. Les troupes spécifiquement légères ou allégées gardant le mouvement de 20 cm.
— Certains peuples humains, ou espèces humanoïdes, ont un avantage en terrain difficile (autochtones amérindiens en espaces naturels difficiles, Elfes des Bois en forêt...) ils ou elles lancent deux dés de ralentissement et n'en gardent qu'un.
(d'un point de vue argadien ce n'est pas le joueur qui "choisit entre deux dés" — ce qui serait une abominable hérésie antirôliste mais les personnages eux-mêmes qui devinent instinctivement le passage indiqué par le meilleur dé). Ehouarn a écrit:ou des Highlanders Ecossais qui seraient plus à l'aise en zone montagneuse que des Anglais des plaines...
Du coup les Highlanders légers bougent plus vite (20 cm) que les Anglais réguliers (16 cm) quel que soit le terrain facile. Pas plus vite que d'éventuels Anglais légers mais je ne crois pas qu'il y en ait déjà en 1745.
Ensuite sont-ils meilleurs en colline en général...? Il semble qu'au XVIIIe siècle le commandement anglais en Amérique, qui les prenait pour aussi sauvages que les Indiens, croyait ça au point d'en envoyer courir dans les Appalaches dans des conditions très limites... bon en compagnies légères ils étaient bons (classe 4 je pense) mais c'était pas des Amérindiens quand même...