Quelques photos (prises par Laurent et moi) de la petite escarmouche aujourd'hui à Theix.
Avec les figurines disponibles, nous avions choisi de placer la chose quelque part en Amérique du Nord. Des soldats de Marine français viennent attaquer un fortin de colons anglais qui se sont alliés à des Indiens des environs.
En début de partie, les Indiens sont cachés, mais ne savent pas non plus par où les Français rentreront sur la table.
Surprise ! Les Français arrivent en bateau ! Et commencent aussitôt à débarquer.
Les Indiens ne sont pas encore visibles. En fait, un de leurs groupes était dans cette forêt mais a discrètement battu en retraite en voyant l'ennemi soudain si près.
Après avoir accompagné les troupes à terre l'aumônier du navire décide que, finalement, sa place est à bord, et retourne vers le rivage.
Dans le fortin, les colons s'apprêtent à défendre chèrement leur vie.
Un peu plus tard les Français, en subissant quelques pertes dues aux deux canons du fortin, font un large mouvement tournant jusqu'à une étendue de broussailles... Les Indiens se décident enfin à se montrer, prennent de l'assurance et deviennent rapidement plus entreprenants.
Devant la résistance du fortin, les Français amènent avec peine un canon de marine jusqu'à la côte, puis en haut de la colline.
Épuisés par les pertes dues aux tirs, les Français sont finalement repoussés par une attaque au corps à corps d'Indiens et de coureurs des bois anglais. Leurs survivants rembarquent en hâte sous la protection des canons du navire, abandonnant une pièce d'artillerie aux sauvages.
Avec les figurines disponibles, nous avions choisi de placer la chose quelque part en Amérique du Nord. Des soldats de Marine français viennent attaquer un fortin de colons anglais qui se sont alliés à des Indiens des environs.
En début de partie, les Indiens sont cachés, mais ne savent pas non plus par où les Français rentreront sur la table.
Surprise ! Les Français arrivent en bateau ! Et commencent aussitôt à débarquer.
Les Indiens ne sont pas encore visibles. En fait, un de leurs groupes était dans cette forêt mais a discrètement battu en retraite en voyant l'ennemi soudain si près.
Après avoir accompagné les troupes à terre l'aumônier du navire décide que, finalement, sa place est à bord, et retourne vers le rivage.
Dans le fortin, les colons s'apprêtent à défendre chèrement leur vie.
Un peu plus tard les Français, en subissant quelques pertes dues aux deux canons du fortin, font un large mouvement tournant jusqu'à une étendue de broussailles... Les Indiens se décident enfin à se montrer, prennent de l'assurance et deviennent rapidement plus entreprenants.
Devant la résistance du fortin, les Français amènent avec peine un canon de marine jusqu'à la côte, puis en haut de la colline.
Épuisés par les pertes dues aux tirs, les Français sont finalement repoussés par une attaque au corps à corps d'Indiens et de coureurs des bois anglais. Leurs survivants rembarquent en hâte sous la protection des canons du navire, abandonnant une pièce d'artillerie aux sauvages.