Une nouvelle partie testée avec Argad ANO. Ce coup ci le cobaye est Christophe qui a amené ses terribles boxers. En tout une bonne 50aine d’hommes répartis en 4 unités (3 avec armes blanches et 1 avec des fusils) soutenues par un canon (3 dés d’attaque et 2 tours pour recharger).
En face j’aligne un agglomérat de troupes des légations. Une 10aine de russes, 7 civils et 18 français répartis en 2 unités (marins et fusiliers).
La partie débute avec une avance rapide des chinois dont l’un des groupes s’approche de la maison où son retranchés les civils menés par un soldat allemand. Les civils tiennent l’unique porte (bravo le concepteur) mais sont engagés au corps à corps par des chinois avec des lances. Bien qu’en difficulté les civils tiennent le coup malgré un recul et l’accumulation de points d’usures oblige les chinois à se retirer.
Leur état et leur faible nombre les amène à se regrouper avec l’unité qui était à leur gauche. Cette dernière s’était contentée pour le moment de se positionner derrière une barricade pour tenir en alerte les soldats russes. Ces derniers frustrés de ne pas voir d’ennemi dans leur environnement proche en profite pour liquider les trois caisses de vodka qu’ils avaient pris par mégarde (…). Grand bien leur fera comme nous le verrons plus tard.
Sur le côté droit des boxers le canon tente en vain de tracer des sillons sanglants dans les lignes françaises pendant qu’un groupe de boxers vient à la rencontre des fusiliers marins qui contournent par l’arrière du bâtiment rapidement rejoints par les hommes équipés de fusils. Les français fidèles à leur réputation et après un tir de préparation engagent les chinois désorganisés qu’ils étrillent.
Cependant l’arrivée des fusiliers ennemis les oblige à reprendre une position défensive.
Pendant ce temps le groupe reformé part à l’assaut du centre européen et engage rapidement les marins français qui malgré le soutien de quelques civils et surtout des marins russes qui tirent comme à la foire les pauvres chinois dont le nombre ne cesse de se réduire. Ha les bienfaits de l’alcool…
Pour autant les marins français sont submergés en deux charges et les quelques chinois restants se regroupent avec les survivants du côté droit.
Les civils euphoriques sortent alors pour tenter de prendre à revers le canon (à l’efficacité toujours aussi douteuse) mais ils sont interceptés par le groupe reconstitué et éliminés (après avoir dérouté et juste au moment où ils ralliaient !) malgré les tirs de soutien de leurs camarades russes.
Le général chinois croit enfin tenir sa victoire lorsque ses tireurs qui sont rentrés dans le bâtiment et ont ainsi obligés les fusiliers à replier entament un duel au feu avec ces derniers qui tombent comme des mouches. Mais le retour des russes à leur côté scelle le sort de la bataille et les quelques survivants sont obligés de retraiter.
En face j’aligne un agglomérat de troupes des légations. Une 10aine de russes, 7 civils et 18 français répartis en 2 unités (marins et fusiliers).
La partie débute avec une avance rapide des chinois dont l’un des groupes s’approche de la maison où son retranchés les civils menés par un soldat allemand. Les civils tiennent l’unique porte (bravo le concepteur) mais sont engagés au corps à corps par des chinois avec des lances. Bien qu’en difficulté les civils tiennent le coup malgré un recul et l’accumulation de points d’usures oblige les chinois à se retirer.
Leur état et leur faible nombre les amène à se regrouper avec l’unité qui était à leur gauche. Cette dernière s’était contentée pour le moment de se positionner derrière une barricade pour tenir en alerte les soldats russes. Ces derniers frustrés de ne pas voir d’ennemi dans leur environnement proche en profite pour liquider les trois caisses de vodka qu’ils avaient pris par mégarde (…). Grand bien leur fera comme nous le verrons plus tard.
Sur le côté droit des boxers le canon tente en vain de tracer des sillons sanglants dans les lignes françaises pendant qu’un groupe de boxers vient à la rencontre des fusiliers marins qui contournent par l’arrière du bâtiment rapidement rejoints par les hommes équipés de fusils. Les français fidèles à leur réputation et après un tir de préparation engagent les chinois désorganisés qu’ils étrillent.
Cependant l’arrivée des fusiliers ennemis les oblige à reprendre une position défensive.
Pendant ce temps le groupe reformé part à l’assaut du centre européen et engage rapidement les marins français qui malgré le soutien de quelques civils et surtout des marins russes qui tirent comme à la foire les pauvres chinois dont le nombre ne cesse de se réduire. Ha les bienfaits de l’alcool…
Pour autant les marins français sont submergés en deux charges et les quelques chinois restants se regroupent avec les survivants du côté droit.
Les civils euphoriques sortent alors pour tenter de prendre à revers le canon (à l’efficacité toujours aussi douteuse) mais ils sont interceptés par le groupe reconstitué et éliminés (après avoir dérouté et juste au moment où ils ralliaient !) malgré les tirs de soutien de leurs camarades russes.
Le général chinois croit enfin tenir sa victoire lorsque ses tireurs qui sont rentrés dans le bâtiment et ont ainsi obligés les fusiliers à replier entament un duel au feu avec ces derniers qui tombent comme des mouches. Mais le retour des russes à leur côté scelle le sort de la bataille et les quelques survivants sont obligés de retraiter.