Notre cher Honoré quitta La Martinique à la recherche de Aymé Bienaufond de Toulvarère, qui avait l'honneur d'être son débiteur, ce dernier ayant mystérieusement disparu avant de pouvoir s'honorer de sa dette de jeu
Las il se retrouva en mer à suivre un vaisseau espagnol dont le capitaine semblait avoir beaucoup de difficultés à la manœuvre et qui se trouva pris malencontreusement (mais peut-être était-ce finalement le but recherché) pris par l'arrière par une frégate anglaise bien armée
Après moultes manœuvres en vent contraire (pourquoi le vent est-il systématiquement défavorable en mer ?) Honoré parvint à se frayer un chemin et à s'éloigner de l'ennemi anglais, laissant derrière lui le navire espagnol qui sombrait avec les troupes françaises qu'il transportait, pour arriver enfin (après 20 tours de jeux ) à la plantation où il espérait retrouver ce cher Aymé son débiteur.
Nous passerons sous silence un fâcheux épisode où un jeune pirate, arrivé d'on ne sait où, s'en vint harponner mon navire et le prendre à l'abordage alors que tous mes hommes étaient débarqués. Honoré tenta bien en retour l'assaut du vaisseau pirates, mais impossible pour ses hommes de mettre pied à bord, alors même qu'aucun pirate ne se trouvait derrière le bastingage pour les en empêcher... encore une question de météo contraire certainement
Une fois ces tracas oubliés, le Seigneur de Toulvarère apprend à Honoré que le dit Aymé est prisonnier des zenglish à Port Elisabeth et qu'il convient de le délivrer de nuit avant qu'il ne soit pendu au petit matin comme espion.
Le cher Aymé est par ailleurs blessé, car il a reçu un balle tirée très maladroitement sur lui par un cavalier français lors d'une raid de reconnaissance
Au cœur de la nuit Honoré Le Hir et ses corsaires, accompagnés de troupes françaises débarquent sur Port Elisabeth. Tout de suite repérés par les sentinelles, ils n'ont d'autre choix que de foncer dans le tas directement sur le petit fortin et le campement de la soldatesque.
Là nous devons reconnaitre un acte de bravoure des troupes françaises de marine qui, commandées par Le Capitaine de Kertheiz, ont vaillamment, et au prix de lourdes pertes, décimé les soldats anglais, qui bien que surpris en plein sommeil, ont chèrement vendu leur peau.
De son côté Honoré et ses hommes investissent le fortin
L'Anglais (toujours très fourbe) sentant qu'il ne parviendra pas à repousser cet assaut libérateur charge son prisonnier sur une charrette pour tenter de le soustraire à ses compatriotes.
Honoré se lance à leur poursuite quelque peu retardé par des mortiers empruntés dans l'armurerie du fortin.
Mais Honoré est finalement plus rapide que le char à boeuf de l'anglais et la souricière se termine à son avantage
Bientôt le fourbe goddon cherche à fuir poursuivi par notre valeureux capitaine...
... pour se retrouver une nouvelle fois pris au piège
L'officier prend la sage décision de sauver sa peau et d'abandonner son prisonnier et de fuir dans la jungle
Honoré met alors le siège devant le dernier fortin tenu par les anglais qui choisi de négocier. Moyennant une promesse du versement d'une rançon de 50 000£, il accepte de quitter la ville en emmenant le Gouverneur sa femme et une veuve que le Capitaine de Kertheiz ont fait prisonniers.
(à suivre...)
Las il se retrouva en mer à suivre un vaisseau espagnol dont le capitaine semblait avoir beaucoup de difficultés à la manœuvre et qui se trouva pris malencontreusement (mais peut-être était-ce finalement le but recherché) pris par l'arrière par une frégate anglaise bien armée
Après moultes manœuvres en vent contraire (pourquoi le vent est-il systématiquement défavorable en mer ?) Honoré parvint à se frayer un chemin et à s'éloigner de l'ennemi anglais, laissant derrière lui le navire espagnol qui sombrait avec les troupes françaises qu'il transportait, pour arriver enfin (après 20 tours de jeux ) à la plantation où il espérait retrouver ce cher Aymé son débiteur.
Nous passerons sous silence un fâcheux épisode où un jeune pirate, arrivé d'on ne sait où, s'en vint harponner mon navire et le prendre à l'abordage alors que tous mes hommes étaient débarqués. Honoré tenta bien en retour l'assaut du vaisseau pirates, mais impossible pour ses hommes de mettre pied à bord, alors même qu'aucun pirate ne se trouvait derrière le bastingage pour les en empêcher... encore une question de météo contraire certainement
Une fois ces tracas oubliés, le Seigneur de Toulvarère apprend à Honoré que le dit Aymé est prisonnier des zenglish à Port Elisabeth et qu'il convient de le délivrer de nuit avant qu'il ne soit pendu au petit matin comme espion.
Le cher Aymé est par ailleurs blessé, car il a reçu un balle tirée très maladroitement sur lui par un cavalier français lors d'une raid de reconnaissance
Au cœur de la nuit Honoré Le Hir et ses corsaires, accompagnés de troupes françaises débarquent sur Port Elisabeth. Tout de suite repérés par les sentinelles, ils n'ont d'autre choix que de foncer dans le tas directement sur le petit fortin et le campement de la soldatesque.
Là nous devons reconnaitre un acte de bravoure des troupes françaises de marine qui, commandées par Le Capitaine de Kertheiz, ont vaillamment, et au prix de lourdes pertes, décimé les soldats anglais, qui bien que surpris en plein sommeil, ont chèrement vendu leur peau.
De son côté Honoré et ses hommes investissent le fortin
L'Anglais (toujours très fourbe) sentant qu'il ne parviendra pas à repousser cet assaut libérateur charge son prisonnier sur une charrette pour tenter de le soustraire à ses compatriotes.
Honoré se lance à leur poursuite quelque peu retardé par des mortiers empruntés dans l'armurerie du fortin.
Mais Honoré est finalement plus rapide que le char à boeuf de l'anglais et la souricière se termine à son avantage
Bientôt le fourbe goddon cherche à fuir poursuivi par notre valeureux capitaine...
... pour se retrouver une nouvelle fois pris au piège
L'officier prend la sage décision de sauver sa peau et d'abandonner son prisonnier et de fuir dans la jungle
Honoré met alors le siège devant le dernier fortin tenu par les anglais qui choisi de négocier. Moyennant une promesse du versement d'une rançon de 50 000£, il accepte de quitter la ville en emmenant le Gouverneur sa femme et une veuve que le Capitaine de Kertheiz ont fait prisonniers.
(à suivre...)
Dernière édition par Ehouarn le Lun 31 Oct 2011 - 16:22, édité 4 fois