Voici donc le récit de troubles événements survenus en Louisiane (...au salon Replika de Trélissac, en Dordogne, les 15-16 avril 2023...) pendant la guerre anglo-américaine de 1812-1815.
La Louisiane française, vendue aux USA par Napoléon quelques années auparavant, en 1803, a maintenant pour gouverneur un nommé William Claiborne ; peu expérimenté, celui-ci s'entend mal avec la population, et est en rivalité avec le corsaire (...ou pirate) Jean Lafitte qui a de nombreux relais locaux.
Au premier plan l'“habitation“ (ou plantation) des Biennofont de Toulvarère ; en arrière plan la Nouvelle-Orléans.
La plantation, et l'auberge voisine, vues du nord-ouest. La famille Biennofont s'est assez récemment installée en Louisiane, ayant quitté ses terres de Saint-Domingue en raison d'une situation sociale peu attractive pour les investisseurs.
Il se passe visiblement des choses dans le bayou au sud de la Nouvelle-Orléans ...il semble que de trois corsaires inconnus soient en train de piller Barataria, le repaire de Jean Lafitte qui est pour le moment presque vide d'occupants.
Trois affreux corsaires, dont on ignorera longtemps s'ils sont Espagnols ou Français...!
De furieux combats navals se déroulent au large, surtout entre vaisseaux de guerre français et anglais, et aussi quelques pirates (nous n'en diront pas plus dans ce fil-ci qui concerne les événements à terre).
Remarquons quand même une petite barcasse qui tente de se faufiler entre les combats. Il s'agit de la baleinière La Graine-Pisse, de la Nouvelle-Orléans, qui revient des Antilles avec quelques passagers désireux de voyager en Louisiane. Après avoir profité un moment de la protection d'un gros navire français, elle manque de peu se faire capturer par un Britannique.
Les passagers, parmi lesquels un officier de marine en permission, disent être membres de la famille Toulvarère et aller visiter leurs cousins de Louisiane.
Assez loin de là, par le plus grand des hasards et sans aucun rapport, un autre petit bateau de même tonnage, La Bergère des Mers, appartenant à la Marine française, longe la côte et les bayous à destination de la Nouvelle-Orléans.
La suite bientôt...
La Louisiane française, vendue aux USA par Napoléon quelques années auparavant, en 1803, a maintenant pour gouverneur un nommé William Claiborne ; peu expérimenté, celui-ci s'entend mal avec la population, et est en rivalité avec le corsaire (...ou pirate) Jean Lafitte qui a de nombreux relais locaux.
Au premier plan l'“habitation“ (ou plantation) des Biennofont de Toulvarère ; en arrière plan la Nouvelle-Orléans.
La plantation, et l'auberge voisine, vues du nord-ouest. La famille Biennofont s'est assez récemment installée en Louisiane, ayant quitté ses terres de Saint-Domingue en raison d'une situation sociale peu attractive pour les investisseurs.
Il se passe visiblement des choses dans le bayou au sud de la Nouvelle-Orléans ...il semble que de trois corsaires inconnus soient en train de piller Barataria, le repaire de Jean Lafitte qui est pour le moment presque vide d'occupants.
Trois affreux corsaires, dont on ignorera longtemps s'ils sont Espagnols ou Français...!
De furieux combats navals se déroulent au large, surtout entre vaisseaux de guerre français et anglais, et aussi quelques pirates (nous n'en diront pas plus dans ce fil-ci qui concerne les événements à terre).
Remarquons quand même une petite barcasse qui tente de se faufiler entre les combats. Il s'agit de la baleinière La Graine-Pisse, de la Nouvelle-Orléans, qui revient des Antilles avec quelques passagers désireux de voyager en Louisiane. Après avoir profité un moment de la protection d'un gros navire français, elle manque de peu se faire capturer par un Britannique.
Les passagers, parmi lesquels un officier de marine en permission, disent être membres de la famille Toulvarère et aller visiter leurs cousins de Louisiane.
Assez loin de là, par le plus grand des hasards et sans aucun rapport, un autre petit bateau de même tonnage, La Bergère des Mers, appartenant à la Marine française, longe la côte et les bayous à destination de la Nouvelle-Orléans.
La suite bientôt...