En décembre 1745, la bataille de Kesselsdorf a opposé les troupes prussiennes de Frédéric II à une armée composée de soldats saxons et autrichiens. Cet affrontement survenu lors de la guerre de Succession d'Autriche a tourné à l'avantage des Prussiens, vainqueurs en près de deux heures seulement.
Cela dit, l'histoire ne se répète pas toujours. La preuve en a été fournies à Bruz par le club des Hussards d'Isengard.
Celui-ci a reconstitué l'événement avec des figs de 15 mm selon la règle "Le crépuscule des rois soldats" (Twilight of the soldier kings ) qui accorde une part très importante au moral des troupes, sans parler de quelques surprises ludiques.
En effet, contrairement à d'autres règles, les pertes subies au combat par une troupe engagée en mêlée ou bien prise sous un feu roulant ne dépendent pas du résultat du jet de dés lancés par l'adversaire. Elles sont uniquement déterminées par le jet de dés du joueur qui manoeuvre la dite troupe. Une sorte d'auto-flagellation en somme, hi, hi, hi.
A noter également la capacité pour l'artillerie de bloquer toute avance ennemie si l'adversaire visé par un bombardement ne réussit un test de moral. Tout comme la possibilité, toujours sur un jet de dé, d'activer - ou pas - une troupe qui pivote, change de formation ou cherche à arriver au contact de l'ennemi. Tant il est vrai que, sur un champ de bataille, les ordres transmis ne sont pas toujours bien compris.
Bien que plus manoeuvriers et plus efficaces au tir que leurs adversaires, les Prussiens déployés sur la table de Bruz ne sont pas parvenus à enfoncer les saxo-autrichiens. Ces derniers réussissant à tenir leurs positions jusqu'à la tombée de la nuit en dépit des lourdes pertes qui leur étaient infligées.
Il est vrai que le terrain était plus que favorable aux défenseurs retranchés dans un village fortifié, alignés au sommet d'une colline et protégés de flanc par des marais. Des défenseurs qui, en prime, ont soigneusement évité de commettre l'erreur commise par leur homologues en 1745 : contre-attaquer en masquant leur artillerie avec leur infanterie. Il y a des distractions qui coûtent cher parfois...
D'autres batailles du même style sont à venir à Bruz où la règle sera également adoptée pour des affrontements napoléoniens. Affaire et coups de canon à suivre.
Cela dit, l'histoire ne se répète pas toujours. La preuve en a été fournies à Bruz par le club des Hussards d'Isengard.
Celui-ci a reconstitué l'événement avec des figs de 15 mm selon la règle "Le crépuscule des rois soldats" (Twilight of the soldier kings ) qui accorde une part très importante au moral des troupes, sans parler de quelques surprises ludiques.
En effet, contrairement à d'autres règles, les pertes subies au combat par une troupe engagée en mêlée ou bien prise sous un feu roulant ne dépendent pas du résultat du jet de dés lancés par l'adversaire. Elles sont uniquement déterminées par le jet de dés du joueur qui manoeuvre la dite troupe. Une sorte d'auto-flagellation en somme, hi, hi, hi.
A noter également la capacité pour l'artillerie de bloquer toute avance ennemie si l'adversaire visé par un bombardement ne réussit un test de moral. Tout comme la possibilité, toujours sur un jet de dé, d'activer - ou pas - une troupe qui pivote, change de formation ou cherche à arriver au contact de l'ennemi. Tant il est vrai que, sur un champ de bataille, les ordres transmis ne sont pas toujours bien compris.
Bien que plus manoeuvriers et plus efficaces au tir que leurs adversaires, les Prussiens déployés sur la table de Bruz ne sont pas parvenus à enfoncer les saxo-autrichiens. Ces derniers réussissant à tenir leurs positions jusqu'à la tombée de la nuit en dépit des lourdes pertes qui leur étaient infligées.
Il est vrai que le terrain était plus que favorable aux défenseurs retranchés dans un village fortifié, alignés au sommet d'une colline et protégés de flanc par des marais. Des défenseurs qui, en prime, ont soigneusement évité de commettre l'erreur commise par leur homologues en 1745 : contre-attaquer en masquant leur artillerie avec leur infanterie. Il y a des distractions qui coûtent cher parfois...
D'autres batailles du même style sont à venir à Bruz où la règle sera également adoptée pour des affrontements napoléoniens. Affaire et coups de canon à suivre.