et bien moi, je viens de m'offrir mon cadeau de Noël. "Le jouvencel" de Jean de Bueil, qui s'avère être partiellement autobiographique et qui renseigne semble-t-il pas mal sur les tactiques de la guerre de 100 ans.
(Découvert sur une forum anglais... les boules!)
4ème de couv:
Le Jouvencel
suivi du commentaire de Guillaume Tringant
Traité d'art militaire, apologie de la guerre et avant tout oeuvre de fiction pleine de vie, Le Jouvencel raconte la carrière idéale d'un jeune noble attiré par le métier des armes, qui après avoir volé une lessive et quelques chèvres, devient un capitaine valeureux et respecté avant d'épouser la fille d'un roi et de devenir régent du royaume de son beau-père.
Son auteur, Jean de Bueil, homme de guerre qui a soutenu Charles VII, le compose vers la fin de sa vie. Si l'oeuvre est nourrie de ses souvenirs personnels, il ne s'agit ni d'une biographie, ni d'une autobiographie déguisée, mais d'un véritable roman, le premier roman réaliste en langue française selon Louis Aragon. Le Jouvencel a joui d'un succès indéniable. Il nous a été conservé dans 16 manuscrits, certains somptueusement enluminés, et 4 éditions anciennes.
Le texte est suivi de l'édition du Commentaire de Guillaume Tringant, un écuyer de Jean de Bueil, qui a rédigé, après la mort de son maître, une glose biographique invitant à reconnaître sous les traits du Jouvencel l'auteur lui-même.
(Découvert sur une forum anglais... les boules!)
4ème de couv:
Le Jouvencel
suivi du commentaire de Guillaume Tringant
Traité d'art militaire, apologie de la guerre et avant tout oeuvre de fiction pleine de vie, Le Jouvencel raconte la carrière idéale d'un jeune noble attiré par le métier des armes, qui après avoir volé une lessive et quelques chèvres, devient un capitaine valeureux et respecté avant d'épouser la fille d'un roi et de devenir régent du royaume de son beau-père.
Son auteur, Jean de Bueil, homme de guerre qui a soutenu Charles VII, le compose vers la fin de sa vie. Si l'oeuvre est nourrie de ses souvenirs personnels, il ne s'agit ni d'une biographie, ni d'une autobiographie déguisée, mais d'un véritable roman, le premier roman réaliste en langue française selon Louis Aragon. Le Jouvencel a joui d'un succès indéniable. Il nous a été conservé dans 16 manuscrits, certains somptueusement enluminés, et 4 éditions anciennes.
Le texte est suivi de l'édition du Commentaire de Guillaume Tringant, un écuyer de Jean de Bueil, qui a rédigé, après la mort de son maître, une glose biographique invitant à reconnaître sous les traits du Jouvencel l'auteur lui-même.