En 1815, le choc a été rude autour du village belge de Ligny que se disputaient les Français et les Prussiens.
L'affaire a été reconstituée un vendredi sans donner véritablement l'avantage à l'un ou l'autre camp. Car la traversée du ruisseau qui séparait les belligérants perturbait fortement la formation des audacieux qui décidaient de se mouiller les pieds pour aller chatouiller l'ennemi avec un sabre ou une baïonnette.
Belle partie néanmoins qui démontre au moins une chose : sur une table de jeu, un cours d'eau, c'est souvent la galère.
Pour le reste, c'était du 28 mm, bien sûr.
Les lieux du drame dans toute leur horreur
La cavalerie française va passer la rivière. Mais, mal coordonnée dans son attaque, elle va se faire hacher en partie par une batterie d'artillerie de 12 livres et sera finalement arrêtée au tir par une infanterie prussienne que soutiennent les dangereux shutzen silésiens
Au coeur du village, une maison canonnée par les Prussiens et occupée par les Français commence à flamber. Terrible faute de goût prussienne. Elle abritait le seul bistrot du coin.
Peu tentée de franchir le ruisseau pour se retrouver sans formation, et donc dans l'incapacité de charger le tour suivant, la cavalerie prussienne hésite, attend et décide finalement d'entamer une belote plutôt que de se mettre au turbin. Et après on s'étonne que leurs descendants se fassent battre au foot par les Coréens
L'affaire a été reconstituée un vendredi sans donner véritablement l'avantage à l'un ou l'autre camp. Car la traversée du ruisseau qui séparait les belligérants perturbait fortement la formation des audacieux qui décidaient de se mouiller les pieds pour aller chatouiller l'ennemi avec un sabre ou une baïonnette.
Belle partie néanmoins qui démontre au moins une chose : sur une table de jeu, un cours d'eau, c'est souvent la galère.
Pour le reste, c'était du 28 mm, bien sûr.
Les lieux du drame dans toute leur horreur
La cavalerie française va passer la rivière. Mais, mal coordonnée dans son attaque, elle va se faire hacher en partie par une batterie d'artillerie de 12 livres et sera finalement arrêtée au tir par une infanterie prussienne que soutiennent les dangereux shutzen silésiens
Au coeur du village, une maison canonnée par les Prussiens et occupée par les Français commence à flamber. Terrible faute de goût prussienne. Elle abritait le seul bistrot du coin.
Peu tentée de franchir le ruisseau pour se retrouver sans formation, et donc dans l'incapacité de charger le tour suivant, la cavalerie prussienne hésite, attend et décide finalement d'entamer une belote plutôt que de se mettre au turbin. Et après on s'étonne que leurs descendants se fassent battre au foot par les Coréens