Dans mes derniers cartons de déménagement, j'ai retrouvé quelques avions utilisés pour les parties de Blitzkrieg.
J'en ai profité pour refaire et affiner leur soclage.
La technique est simple.
L'avion est collé sur un bouchon de bouteille plastique peint selon la même couleur que le fuselage pour qu'il soit plus discret.
Le bouchon, que l'on peut remplir de pate "rebouche tout" afin de solidifier la fixation est lui même collé à l'extrémité d'une tige en bois utilisée pour les brochettes.
Tige dont l'autre extrémité pénètre dans un second bouchon de plastique qui sert de base et que je colle sur une plaque ronde en carton (un calendrier épais fait l'affaire).
En dessous du cercle de carton, je colle une plaque de métal afin de faire descendre le centre de gravité de l'ensemble.
Enfin, la plaque métallique est elle-même collée sur un second cercle de carton pour que le support sur lequel repose le tout soit bien plat.
Après, il suffit d'un peu de peinture et de flocage pour donner l'aspect du sol à la base (on peut également imaginer de poser sur la base du coton taché de rouge et de noir pour simuler un bombardement).
L'ensemble a suffisamment de hauteur pour passer au-dessus de décors de maisons. Ce qui n'est pas négligeable. Par ailleurs, il est très stable et peut être manipulé sans problème.
L'avantage, c'est enfin la finesse de la tige que l'on peut peindre en gris clair bleuté.
Voici des photos de mes P 47 Thunderbolt et d'un A-25 Helldiver .
Dans la foulée, je vais m'attaquer à des chasseurs de chars Sturmovik russes, en soignant les fixations (sans doute avec 2 ou 3 tiges de brochettes réunies, comme les faisceaux romains). Car les maquettes sont en métal. Donc plus lourdes. Mais ça devrait le faire.
J'en ai profité pour refaire et affiner leur soclage.
La technique est simple.
L'avion est collé sur un bouchon de bouteille plastique peint selon la même couleur que le fuselage pour qu'il soit plus discret.
Le bouchon, que l'on peut remplir de pate "rebouche tout" afin de solidifier la fixation est lui même collé à l'extrémité d'une tige en bois utilisée pour les brochettes.
Tige dont l'autre extrémité pénètre dans un second bouchon de plastique qui sert de base et que je colle sur une plaque ronde en carton (un calendrier épais fait l'affaire).
En dessous du cercle de carton, je colle une plaque de métal afin de faire descendre le centre de gravité de l'ensemble.
Enfin, la plaque métallique est elle-même collée sur un second cercle de carton pour que le support sur lequel repose le tout soit bien plat.
Après, il suffit d'un peu de peinture et de flocage pour donner l'aspect du sol à la base (on peut également imaginer de poser sur la base du coton taché de rouge et de noir pour simuler un bombardement).
L'ensemble a suffisamment de hauteur pour passer au-dessus de décors de maisons. Ce qui n'est pas négligeable. Par ailleurs, il est très stable et peut être manipulé sans problème.
L'avantage, c'est enfin la finesse de la tige que l'on peut peindre en gris clair bleuté.
Voici des photos de mes P 47 Thunderbolt et d'un A-25 Helldiver .
Dans la foulée, je vais m'attaquer à des chasseurs de chars Sturmovik russes, en soignant les fixations (sans doute avec 2 ou 3 tiges de brochettes réunies, comme les faisceaux romains). Car les maquettes sont en métal. Donc plus lourdes. Mais ça devrait le faire.