Avant le départ imminent vers la Bretagne, une surprise sympa m'attendait vendredi au club Histoire et Légendes, de Lescar, que j'ai fréquenté pendant des années.
Un pot offert par les copains en prélude à une partie d'escarmouche en 28 mm pas piquée des vers.
Le scénario était on ne peut plus imaginaire : le soir du 18 juin 1815, contrairement à ce que l'on peut croire, rien n'est encore joué à Waterloo pour les troupes de Napoléon. La ferme de la Haye Sainte, tenue par les Français, résiste aux assauts conjugués des Prussiens et des Anglais.
Rien à voir avec les immenses parties de "Vive l'empereur" disputées avec d'autres potes dans les Landes ou en Gironde. Mais un sacré bon moment quand même que cette der béarnaise qui s'appuyait sur une règle simplissime, avec obligation pour les assaillants de franchir des murs à la courte échelle, enfoncer des portes à la hache, recharger le fusil après avoir fait feu, s'emparer d'une aigle, capturer un général, entre autres détails croustillants.
Bref, du suspense et pas mal de rigolade. Une soirée que je ne suis pas près d'oublier.
Une dernière photo, pour la route
Stéphane et Philippe, les Anglo-Prussiens de service. Tenaces dans l'assaut, habiles au dé
La landwehr de Jean, le président du club, va se faire décimer
Quelqu'un avait même imaginé de réaliser la tombe de Ney, tombé sur le champ de bataille et non fusillé en décembre 1815, avenue de l'Observatoire, à Paris.
Un pot offert par les copains en prélude à une partie d'escarmouche en 28 mm pas piquée des vers.
Le scénario était on ne peut plus imaginaire : le soir du 18 juin 1815, contrairement à ce que l'on peut croire, rien n'est encore joué à Waterloo pour les troupes de Napoléon. La ferme de la Haye Sainte, tenue par les Français, résiste aux assauts conjugués des Prussiens et des Anglais.
Rien à voir avec les immenses parties de "Vive l'empereur" disputées avec d'autres potes dans les Landes ou en Gironde. Mais un sacré bon moment quand même que cette der béarnaise qui s'appuyait sur une règle simplissime, avec obligation pour les assaillants de franchir des murs à la courte échelle, enfoncer des portes à la hache, recharger le fusil après avoir fait feu, s'emparer d'une aigle, capturer un général, entre autres détails croustillants.
Bref, du suspense et pas mal de rigolade. Une soirée que je ne suis pas près d'oublier.
Une dernière photo, pour la route
Stéphane et Philippe, les Anglo-Prussiens de service. Tenaces dans l'assaut, habiles au dé
La landwehr de Jean, le président du club, va se faire décimer
Quelqu'un avait même imaginé de réaliser la tombe de Ney, tombé sur le champ de bataille et non fusillé en décembre 1815, avenue de l'Observatoire, à Paris.