Vient juste de sortir réédité chez Libretto. J'ai été surpris par l'orthographe, probablement anglicisée, du héros de l'indépendance galloise que je connaissais uniquement sous la forme brittonique Owain Glyndŵr
Nous sommes à la fin du XIVe siècle, en pleine guerre de Cent Ans. Profitant de ce que la couronne d’Angleterre se trouve disputée entre plusieurs factions, le baron gallois Owen Glendower prend les armes, se proclame prince de Galles et fait flotter l’oriflamme au dragon rouge sur les châteaux de la « frontière ». Dans le sillage du prince celte révolté, le jeune Rhisiart va s’initier à la vie, qui est elle-même une guerre de tous les instants. On brandit l’épée, on échange avec la même conviction horions et arguments théologiques, on invoque les génies – bienfaisants ou malfaisants – qui se cachent sous la robe de Dame Nature. On cherche la sainteté. On assassine. On fornique. Tout cela tissé de fils violemment colorés, nimbé de lumières étranges, éclaboussé de métaphores renversantes, de considérations songeuses ou provocantes, nourri de foi autant que d’hérésie.
L'ouvrage a été écrit en 1941, mais semble bien palpitant au vu du descriptif ci-dessus
L'illustration choisie en couverture pour le tome 2 est nettement moins heureuse car totalement anachronique au vue de l'équipement des cavaliers.
Je possède encore un Tshirt acheté au Pays de Galles à la fin du 20ème siècle avec cette beau dessin d'Owain
Nous sommes à la fin du XIVe siècle, en pleine guerre de Cent Ans. Profitant de ce que la couronne d’Angleterre se trouve disputée entre plusieurs factions, le baron gallois Owen Glendower prend les armes, se proclame prince de Galles et fait flotter l’oriflamme au dragon rouge sur les châteaux de la « frontière ». Dans le sillage du prince celte révolté, le jeune Rhisiart va s’initier à la vie, qui est elle-même une guerre de tous les instants. On brandit l’épée, on échange avec la même conviction horions et arguments théologiques, on invoque les génies – bienfaisants ou malfaisants – qui se cachent sous la robe de Dame Nature. On cherche la sainteté. On assassine. On fornique. Tout cela tissé de fils violemment colorés, nimbé de lumières étranges, éclaboussé de métaphores renversantes, de considérations songeuses ou provocantes, nourri de foi autant que d’hérésie.
L'ouvrage a été écrit en 1941, mais semble bien palpitant au vu du descriptif ci-dessus
L'illustration choisie en couverture pour le tome 2 est nettement moins heureuse car totalement anachronique au vue de l'équipement des cavaliers.
Je possède encore un Tshirt acheté au Pays de Galles à la fin du 20ème siècle avec cette beau dessin d'Owain