Après "un certain temps", le gouverneur suédois de Demmin arrive à la tête d'un détachement de cavalerie, calme les ardeurs incendiaires de von Hopfkorb, et demande aux divers protagonistes de s'expliquer, et de donner leur version des faits.
La nuit tombe. Les hommes de Radek Masaryk en profitent pour s'éclipser, emportant avec eux sur un chariot les cadavres des Ecossais exécutés, et leur chef Angus Mac Laren encore en vie. Ils sont également suivis par la sorcière, et son charbonnier de père, qui maintenant que sa maison est partie en flammes, n'a de toutes façons plus grand chose à espérer ici. Et puis, père d'une sorcière recherchée, sa situation est par trop inconfortable.
Les différents intervenants vont donc s'expliquer auprès du gouverneur. Le juge Schlesier avec sa poignée d'Ecossais survivants fait beaucoup de bruit, accusant le village de protéger une sorcière et d'être un foyer d'idolâtrie et de maléfices ; pour lui, tout le village doit être jugé (et condamné, ça va sans dire).
Von Hopfkorb quant à lui, exige qu'on lui rende son bien indûment saisi par Gersabeck, et demande la mise au pas exemplaire de ce village, ligué avec l'ennemi. Il accuse la milice de Siebeneichen de l'avoir attaqué... or il s'avère que le faubourg n'a jamais eu de milice ! Etonnant, non ?
(Les anciens soldats de Gersabeck, qui s'étaient fait passer pour la milice du village, profitent bien sûr de la nuit pour s'éclipser en emportant leurs armes...)
Flammekueche et Gersabeck sont beaucoup plus posés dans leurs rapports ; Gersabeck tout d'abord, explique qu'il est venu ici dans l'espoir de récupérer son bien, pris par les pillards de von Hopfkorb ; il en profite pour dire que sa présence n'aura pas été inutile, car elle aura permis de mettre les Impériaux en fuite (Hum ! Est-ce bien vrai ?).
Après quelques tergiversations, Gersabeck peut récupérer les chariots de von Hopfkorb qui n'ont pas encore gagné la ville (ce qui représente donc l'essentiel de ce qui avait été volé, de mémoire un seul des chariots des pillards avait réussi à gagner l'enceinte) ; les effets personnels de von Hopfkorb et de ses troupes, sont restitués à ces derniers.
Johan Flammekueche quant à lui, fait un rapport très modéré, expliquant clairement comment il a maîtrisé la situation tout en menant à bien sa mission ; son rapport est fait de telle façon, qu'il ne nuit à aucun des présents, mettant même en valeur l'action de Gersabeck ; les seuls ennemis sont pour lui, les troupes impériales (cavalerie et troupe de Radek) qui ont déjà été mises en fuite ; les absents ont toujours tort !
Le gouverneur fait mettre von Hopfkorb aux arrêts de rigueur pour s'être livré au pillage alors qu'il n'en avait pas reçu l'ordre, et pour avoir voulu incendier un village sous contrôle suédois. Son commandement lui est provisoirement retiré, et il sera mis à l'épreuve dans les semaines à venir, les prochaines missions qui lui seront confiées devront être contrôlées par un officier fiable et loyal.
Le bourg de Siebeneichen est placé sous haute surveillance, ces histoires de fausse milice, de sorcellerie et de complicité avec l'ennemi n'étant pas très claires, et pas du goût du gouverneur.
Le juge Schlesier est autorisé à poursuivre son enquête dans le village, toutefois il lui est demandé de bien vouloir avancer avec circonspection, et de faire un rapport précis au gouverneur ; les Suédois viennent d'arriver en Allemagne depuis quelques mois, ça n'est pas le moment de se mettre la population, surtout sympathisante, à dos !
Messire Gersabeck est invité à regagner ses foyers au plus vite avec ses biens récupérés, et à ne plus trop traîner par ici, car le gouverneur trouve que son rôle est loin d'être clair...
Toutefois, le gouverneur lui précise bien que si d'aventure, Gersabeck désirait rejoindre le camp suédois... les portes pourraient bien lui être ouvertes !
Johan Flammekueche a, par cette mission réussie et son sang froid dans cette affaire, gagné la confiance du gouverneur. Il peut espérer une prochaine promotion, dès que l'occasion s'en présentera... et surtout, plein de nouvelles missions très périlleuses, puisque maintenant on est sûr qu'il les mènera à bien !
Récompenses :
Patrice / Johan Flammekueche :
Pour avoir mené à bien sa mission, atteint ses objectifs, et avoir préservé ses effectifs : 1 point de Barakah.
Denis / Barnabas Gersabeck :
Pour avoir quasiment atteint l'ensemble de ses objectifs (les denrées volées ont presque été intégralement récupérées, le village a échappé au pillage, et la sorcière s'est enfuie) : 1 point de Barakah.
La nuit tombe. Les hommes de Radek Masaryk en profitent pour s'éclipser, emportant avec eux sur un chariot les cadavres des Ecossais exécutés, et leur chef Angus Mac Laren encore en vie. Ils sont également suivis par la sorcière, et son charbonnier de père, qui maintenant que sa maison est partie en flammes, n'a de toutes façons plus grand chose à espérer ici. Et puis, père d'une sorcière recherchée, sa situation est par trop inconfortable.
Les différents intervenants vont donc s'expliquer auprès du gouverneur. Le juge Schlesier avec sa poignée d'Ecossais survivants fait beaucoup de bruit, accusant le village de protéger une sorcière et d'être un foyer d'idolâtrie et de maléfices ; pour lui, tout le village doit être jugé (et condamné, ça va sans dire).
Von Hopfkorb quant à lui, exige qu'on lui rende son bien indûment saisi par Gersabeck, et demande la mise au pas exemplaire de ce village, ligué avec l'ennemi. Il accuse la milice de Siebeneichen de l'avoir attaqué... or il s'avère que le faubourg n'a jamais eu de milice ! Etonnant, non ?
(Les anciens soldats de Gersabeck, qui s'étaient fait passer pour la milice du village, profitent bien sûr de la nuit pour s'éclipser en emportant leurs armes...)
Flammekueche et Gersabeck sont beaucoup plus posés dans leurs rapports ; Gersabeck tout d'abord, explique qu'il est venu ici dans l'espoir de récupérer son bien, pris par les pillards de von Hopfkorb ; il en profite pour dire que sa présence n'aura pas été inutile, car elle aura permis de mettre les Impériaux en fuite (Hum ! Est-ce bien vrai ?).
Après quelques tergiversations, Gersabeck peut récupérer les chariots de von Hopfkorb qui n'ont pas encore gagné la ville (ce qui représente donc l'essentiel de ce qui avait été volé, de mémoire un seul des chariots des pillards avait réussi à gagner l'enceinte) ; les effets personnels de von Hopfkorb et de ses troupes, sont restitués à ces derniers.
Johan Flammekueche quant à lui, fait un rapport très modéré, expliquant clairement comment il a maîtrisé la situation tout en menant à bien sa mission ; son rapport est fait de telle façon, qu'il ne nuit à aucun des présents, mettant même en valeur l'action de Gersabeck ; les seuls ennemis sont pour lui, les troupes impériales (cavalerie et troupe de Radek) qui ont déjà été mises en fuite ; les absents ont toujours tort !
EPILOGUE
Le gouverneur fait mettre von Hopfkorb aux arrêts de rigueur pour s'être livré au pillage alors qu'il n'en avait pas reçu l'ordre, et pour avoir voulu incendier un village sous contrôle suédois. Son commandement lui est provisoirement retiré, et il sera mis à l'épreuve dans les semaines à venir, les prochaines missions qui lui seront confiées devront être contrôlées par un officier fiable et loyal.
Le bourg de Siebeneichen est placé sous haute surveillance, ces histoires de fausse milice, de sorcellerie et de complicité avec l'ennemi n'étant pas très claires, et pas du goût du gouverneur.
Le juge Schlesier est autorisé à poursuivre son enquête dans le village, toutefois il lui est demandé de bien vouloir avancer avec circonspection, et de faire un rapport précis au gouverneur ; les Suédois viennent d'arriver en Allemagne depuis quelques mois, ça n'est pas le moment de se mettre la population, surtout sympathisante, à dos !
Messire Gersabeck est invité à regagner ses foyers au plus vite avec ses biens récupérés, et à ne plus trop traîner par ici, car le gouverneur trouve que son rôle est loin d'être clair...
Toutefois, le gouverneur lui précise bien que si d'aventure, Gersabeck désirait rejoindre le camp suédois... les portes pourraient bien lui être ouvertes !
Johan Flammekueche a, par cette mission réussie et son sang froid dans cette affaire, gagné la confiance du gouverneur. Il peut espérer une prochaine promotion, dès que l'occasion s'en présentera... et surtout, plein de nouvelles missions très périlleuses, puisque maintenant on est sûr qu'il les mènera à bien !
Récompenses :
Patrice / Johan Flammekueche :
Pour avoir mené à bien sa mission, atteint ses objectifs, et avoir préservé ses effectifs : 1 point de Barakah.
Denis / Barnabas Gersabeck :
Pour avoir quasiment atteint l'ensemble de ses objectifs (les denrées volées ont presque été intégralement récupérées, le village a échappé au pillage, et la sorcière s'est enfuie) : 1 point de Barakah.
Dernière édition par Eric de Gleievec le Ven 29 Mai 2015 - 22:48, édité 2 fois