Thomas Baskerville, Denez de Kervasquer, et Marianne de Quenhuen, venant du manoir de Kervasquer (la petite table séparée à l'arrière-plan) cheminent vers Brest en contournant les Monts d'Arrée (la colline à gauche). Approchant du Menez Hom, ils remarquent une agitation de ribauds près de la chapelle au sommet de celui-ci.
Ils encerclent et interrogent tout ce beau monde, qui finit par leur révéler que leur chef, parti vers Brest, a sur lui un morceau du fameux parchemin. Denez de Kervasquer ayant déjà indiqué à Thomas Baskerville qu'il en a lui-même un morceau, les deux hommes d'armes décident de poursuivre ce jeune homme.
Celui-ci, et une ribaude qui chemine avec lui, sont rattrapés peu de temps après, près des bois de justice…
…auxquels ils échappent néanmoins : en échange de leur morceau de parchemin, ils sont relâchés dans les Monts d'Arrée. Ils iront plus tard s'installer à l'auberge des Remparts à Hennebont, faisant profil bas dans cette ville où ils ne sont pas encore connus.
Thomas Baskerville ayant, par ailleurs, envoyé un cavalier demander à Guilo Clec'h le troisième morceau du parchemin, cette énigme sera sans doute bientôt résolue ?
Arrivés près du lieu du miracle du Folgoët, Baskerville (à gauche) et Kervasquer (à droite) tentent tous deux de convaincre les autorités écclésiastiques qu'ils y trouvent (un MJ au centre) de leurs droits sur le domaine de Kervasquer.
La même scène… sur le terrain :
…pendant que les patrouilles anglaises continuent de surveiller le faubourg de Brest.
Pendant ce temps, devant les murs de Rennes, le duc de Lancastre attend toujours ses renforts. Bertrand du Guesclin et quelques bidauts tentent des sorties et mènent des actions de harcèlement contre les assiégeants anglais (mais, les joueurs étant occupés ailleurs, ces escarmouches sont peu développées).
Thomas Baskerville (toujours accompagné de son célèbre chien) et Denez de Kervasquer retournent à la chapelle du Menez Hom avec les trois morceaux du parchemin enfin rassemblés, sur lesquels on peut lire : « Je jure devant Dieu avoir enterré à six toises au couchant du seuil de Saincte Marie du Menez Hom le coffre du Temple » …ils creusent à l'endroit indiqué, et trouvent un important trésor caché par les Templiers de la région en l'an 1307.
Cette fortune leur permet de se mettre d'accord un peu plus tard au château de Brest : Baskerville accepte de renoncer au domaine de Kervasquer (et à son épouse) en échange de la plus grosse partie du trésor, avec laquelle il pense aller s'établir du côté de Callac. Le cardinal, soulagé de voir ce difficile problème juridique résolu (et heureux de recevoir un modeste don prélevé dans le contenu du coffre pour financer ses œuvres charitables) promet d'arranger les choses auprès du Pape pour dissoudre ce second mariage.
Baskerville accepte d'escorter le cardinal vers Rennes (car tous les chemins mènent à Rome, y compris celui de Rennes ; et ça fait aussi un bon moment que le duc de Lancastre attend des renforts !) tandis que Marianne de Quenhuen part faire un petit pèlerinage au Mont Saint-Michel pour faire pénitence d'avoir eu deux maris sans l'avoir su, et que Denez de Kervasquer regagne son domaine.
En traversant Callac, Marianne de Quenhuen se dit quand même que ses deux maris auraient pu prévoir un charroi plus digne de son rang… mais sans doute cela fait-il partie des inconvénients du pèlerinage.
Ils arrivent à Mauron pour la fin de la bataille, où, en avançant lentement leurs forces, le sire de Gleievec, Guilo Clec'h, et le Bâtard de Quimerc'h parviennent finalement à forcer les Franco-bretons à la retraite.
Thomas Baskerville, le Bastard de Quimerc'h, et Guilo Clec'h au centre du village de Mauron :