Le samedi 30 septembre, une bataille napoléonienne dont on ne parle pas souvent sera jouée en 28 mm à Bruz (35) par le club des Hussards d'Isengard, avec une règle maison.
Il s'agit de celle d'Orthez, qui a opposé en février 1814 les Français commandés par Soult aux anglo-portugais (...et Ecossais) de Wellington.
L'affrontement s'est déroulé sur les collines qui longent le gave de Pau, dans ce qui était alors les Pyrénées inférieures.
Il a constitué l'un des épisodes marquants de la retraite effectuée par Soult le long de la chaîne des Pyrénées, en direction de la Catalogne où se trouvait l'armée de Suchet. Cela après que les Anglais, les Portugais et les Espagnols aient chassé les Français de la péninsule ibérique puis envahi le sud-ouest de la France et assiégé Bayonne.
Soult, qui connaissait bien la région et se battait avec un effectif d'un contre deux, a manœuvré pour tenter d'éloigner les alliés de leurs bases d'approvisionnement. C'est à dire des ports.
Cette campagne s'est terminée par le siège et les combats de Toulouse. Ces derniers ont eu lieu une semaine après que Napoléon 1er ait abdiqué. Le téléphone portable n'existait pas à l'époque.
A noter que le carré anglais du cimetière de Pau abrite de nos jours la tombe de l'un des aides de camp de Wellington. Mais aussi que l'on trouve encore sur les flancs des collines orthéziennes des balles de fusil tirées par les belligérants de l'époque.
Le plan très schématique de l'affrontement
Des balles que l'on trouve encore sur place. Les plus grosses sont anglaises, les plus petites sont françaises. Ce qui permettait aux anglo-portugais de ramasser parfois et de réutiliser les munitions tirées par leurs adversaires.
Il s'agit de celle d'Orthez, qui a opposé en février 1814 les Français commandés par Soult aux anglo-portugais (...et Ecossais) de Wellington.
L'affrontement s'est déroulé sur les collines qui longent le gave de Pau, dans ce qui était alors les Pyrénées inférieures.
Il a constitué l'un des épisodes marquants de la retraite effectuée par Soult le long de la chaîne des Pyrénées, en direction de la Catalogne où se trouvait l'armée de Suchet. Cela après que les Anglais, les Portugais et les Espagnols aient chassé les Français de la péninsule ibérique puis envahi le sud-ouest de la France et assiégé Bayonne.
Soult, qui connaissait bien la région et se battait avec un effectif d'un contre deux, a manœuvré pour tenter d'éloigner les alliés de leurs bases d'approvisionnement. C'est à dire des ports.
Cette campagne s'est terminée par le siège et les combats de Toulouse. Ces derniers ont eu lieu une semaine après que Napoléon 1er ait abdiqué. Le téléphone portable n'existait pas à l'époque.
A noter que le carré anglais du cimetière de Pau abrite de nos jours la tombe de l'un des aides de camp de Wellington. Mais aussi que l'on trouve encore sur les flancs des collines orthéziennes des balles de fusil tirées par les belligérants de l'époque.
Le plan très schématique de l'affrontement
Des balles que l'on trouve encore sur place. Les plus grosses sont anglaises, les plus petites sont françaises. Ce qui permettait aux anglo-portugais de ramasser parfois et de réutiliser les munitions tirées par leurs adversaires.