Un cas intéressant pendant une partie jouée avant-hier en époque 1700 :
Un de mes braves soldats (espagnols qu'on m'avait prêtés) voulait entrer dans une maison où se trouvait un ennemi (un Français). Tous les deux, armés de fusils à baïonnette DÉCHARGÉS, se tenaient de part et d'autre de la porte d'entrée (ou plutôt du seuil, y'avait pas de porte). Imaginez la scène.
Et donc, début du tour de jeu. Il dit : « Je recharge mon fusil ». Je dis : « Je rentre dans la maison ». Il répond : « Alors je ne recharge pas, on se frappe ». Avec +1 bien sûr pour lui puisque je passe un obstacle. Je dis : « Alors je ne rentre pas ». Il dit : « Alors je recharge »...
Pendant un bref instant je me suis demandé si l'ignoble individu (je ne cite pas de noms), inspiré par le démon, allait parvenir à faire péter la Très Sainte Règle du simultané
Comme quoi je suis encore trop stressé quand je joue, mais heureusement l'archange Gabriel descendit aussitôt du ciel pour me rassurer.
Je fais ce que je veux, donc je décide si je rentre ou pas. Donc j'ai décidé de ne pas rentrer, et de recharger mon arme. Et l'autre aussi.
J'ai quand même hésité un instant à agiter ma baïonnette devant la porte pour faire croire que j'allais rentrer, pour l'empêcher de recharger. Je ne l'ai pas fait car ce cas n'est guère prévu... et m'aurait aussi empêché de recharger. Ceci dit, en y réfléchissant, c'est aussi dans le texte de la règle : pousser à un désaccord pour obliger à « ne rien faire ».
Un de mes braves soldats (espagnols qu'on m'avait prêtés) voulait entrer dans une maison où se trouvait un ennemi (un Français). Tous les deux, armés de fusils à baïonnette DÉCHARGÉS, se tenaient de part et d'autre de la porte d'entrée (ou plutôt du seuil, y'avait pas de porte). Imaginez la scène.
Et donc, début du tour de jeu. Il dit : « Je recharge mon fusil ». Je dis : « Je rentre dans la maison ». Il répond : « Alors je ne recharge pas, on se frappe ». Avec +1 bien sûr pour lui puisque je passe un obstacle. Je dis : « Alors je ne rentre pas ». Il dit : « Alors je recharge »...
Pendant un bref instant je me suis demandé si l'ignoble individu (je ne cite pas de noms), inspiré par le démon, allait parvenir à faire péter la Très Sainte Règle du simultané
Comme quoi je suis encore trop stressé quand je joue, mais heureusement l'archange Gabriel descendit aussitôt du ciel pour me rassurer.
Je fais ce que je veux, donc je décide si je rentre ou pas. Donc j'ai décidé de ne pas rentrer, et de recharger mon arme. Et l'autre aussi.
J'ai quand même hésité un instant à agiter ma baïonnette devant la porte pour faire croire que j'allais rentrer, pour l'empêcher de recharger. Je ne l'ai pas fait car ce cas n'est guère prévu... et m'aurait aussi empêché de recharger. Ceci dit, en y réfléchissant, c'est aussi dans le texte de la règle : pousser à un désaccord pour obliger à « ne rien faire ».