Juste pour le plaisir des yeux, quelques photos d'une baston napo en 28 mm disputée aujourd'hui dans le sud des Landes.
Un glorieux corps d'armée français y affrontait de viles troupes prussiennes et russes.
Comme d'hab, la partie a été rude.
Elle a vu la cavalerie française (cuirassiers et dragons), soutenue par quelques solides bataillons d'infanterie faire refluer ses homologues teutons et hacher fin, fin, fin les hussards ostrogoths qui s'étaient aventurés sur son aile gauche.
Ce qui n'a pas empêché le centre et la droite tricolores de subir, non sans douleur, les assauts des cosaques, des grenadiers de Pavlov et autres envahisseurs slaves.
Au final, avantage aux alliés.
Comme disait l'autre, le bortch de la vengeance est un plat qui se mange froid.
Les belligérants, de gauche à droite, le redoutable maréchal JP de Lafumée, le sournois général béarnais JJ-la-racaille, le fourbe Landais Didier van Blue Swede Shoes, et le jeune commandant Sébastien de Tupersrienpourattendre. Une belle bande d'assassins.
L'infanterie prussienne, bien décidée à faire passer le goût du camembert à ses homologues français
Les intéressés vont lui démontrer que le camembert en question peut s'avérer particulièrement indigeste pour les estomacs délicats des amateurs de schlachtplatte et de hackepeter, subtiles spécialités teutonnes à bas de cochon.
Les moujiks partent, eux aussi, au turbin
Un réflexe utile : grimper la première colline qui vous tombe sous la main (à gauche) pour y installer sa pièce de 12 et arroser large
A moins de l'envoyer dare dare sur son aile droite parce que - maudit bourrin que l'on est - on vient de s'apercevoir que, de ce côté là, les copains manquent sérieusement de soutien. Cours, Forrest, cours !
Faut dire aussi que le champ de bataille n'a rien d'un dé à coudre. Ce jour-là, 4,8O m de long sur 1,80 m de large, avec ici une vue du centre français. Raaaah lovely !
Le même centre, vu de l'autre côté. La batterie franchouillarde au premier plan , chargée par un régiment de hussards russes, va manger chaud. Mais les artilleurs tiendront. Braves petits !
Par contre dans le village, ce sera une autre paire de manches. Deux bataillons russes s'apprêtent à faire du pâté avec une unité française. Porca miseria !
La percée de la cavalerie lourde française sur l'aile gauche ne suffira pas à rétablir l'équilibre. C'est comme ça. Il y a des jours avec et il y a des jours sans.
Un glorieux corps d'armée français y affrontait de viles troupes prussiennes et russes.
Comme d'hab, la partie a été rude.
Elle a vu la cavalerie française (cuirassiers et dragons), soutenue par quelques solides bataillons d'infanterie faire refluer ses homologues teutons et hacher fin, fin, fin les hussards ostrogoths qui s'étaient aventurés sur son aile gauche.
Ce qui n'a pas empêché le centre et la droite tricolores de subir, non sans douleur, les assauts des cosaques, des grenadiers de Pavlov et autres envahisseurs slaves.
Au final, avantage aux alliés.
Comme disait l'autre, le bortch de la vengeance est un plat qui se mange froid.
Les belligérants, de gauche à droite, le redoutable maréchal JP de Lafumée, le sournois général béarnais JJ-la-racaille, le fourbe Landais Didier van Blue Swede Shoes, et le jeune commandant Sébastien de Tupersrienpourattendre. Une belle bande d'assassins.
L'infanterie prussienne, bien décidée à faire passer le goût du camembert à ses homologues français
Les intéressés vont lui démontrer que le camembert en question peut s'avérer particulièrement indigeste pour les estomacs délicats des amateurs de schlachtplatte et de hackepeter, subtiles spécialités teutonnes à bas de cochon.
Les moujiks partent, eux aussi, au turbin
Un réflexe utile : grimper la première colline qui vous tombe sous la main (à gauche) pour y installer sa pièce de 12 et arroser large
A moins de l'envoyer dare dare sur son aile droite parce que - maudit bourrin que l'on est - on vient de s'apercevoir que, de ce côté là, les copains manquent sérieusement de soutien. Cours, Forrest, cours !
Faut dire aussi que le champ de bataille n'a rien d'un dé à coudre. Ce jour-là, 4,8O m de long sur 1,80 m de large, avec ici une vue du centre français. Raaaah lovely !
Le même centre, vu de l'autre côté. La batterie franchouillarde au premier plan , chargée par un régiment de hussards russes, va manger chaud. Mais les artilleurs tiendront. Braves petits !
Par contre dans le village, ce sera une autre paire de manches. Deux bataillons russes s'apprêtent à faire du pâté avec une unité française. Porca miseria !
La percée de la cavalerie lourde française sur l'aile gauche ne suffira pas à rétablir l'équilibre. C'est comme ça. Il y a des jours avec et il y a des jours sans.