Cette partie, jouée le 16 mai dernier au Pouldu, fait suite aux deux aventures du mois de novembre (dont je n'ai toujours pas fini les comptes-rendus, honte sur moi ! Mais heu, j'ai été très pris... mais promis, je m'y remets dès que j'aurai achevé celui-ci ).
Oui, donc. Nous sommes toujours en 1630, en Poméranie allemande. Après la chute de la ville de Grimmen aux mains des Suédois et (surtout) de leurs alliés, nous voici donc arrivés au début de l'hiver ; époque à laquelle les armées de toutes nations ont pour habitude de prendre leurs "quartiers", en attendant le gai printemps et le retour des hostilités.
Le général impérial Torquato Conti (dit "Le Diable") a justement envoyé au Roi de Suède Gustave-Adolphe un émissaire pour lui proposer une trêve ; il s'est trouvé quelque peu dépité lorsqu'il reçut en guise de réponse : « Les Suédois sont soldats en hiver comme en été [...] en tous cas les Impériaux sont libres de se reposer , quant à nous, nous ne resterons pas oisifs ! » (D'après Schiller, "Histoire de la Guerre de Trente Ans").
Les Impériaux et Ligueurs vont donc devoir se préparer à subir une guerre d'usure au cœur de l'hiver ; pendant ce temps dans le camp suédois, on se languit du grand assaut tant attendu... et on réfléchit au moyen de passer les prochains mois avec le ventre plein.
Car, même si la Foi la plus ardente amène chaque soldat et mercenaire du "Lion du Nord" à ne pas douter de la victoire imminente de la cause protestante, chacun sait bien qu'un sac vide, ça ne tient pas debout ! Et même si des victuailles arrivent régulièrement de Scandinavie par navire (poisson séché et biscuits, miam !), il semble préférable d'assurer les arrières en se constituant un garde-manger bien garni grâce aux ressources locales. Même si les responsables suédois ont fermement interdit pillages et exactions...
Notre aventure débute donc fin décembre, aux portes de la ville de Demmin (également prise par les Suédois quelques mois plus tôt, voir l'aventure "Ça valait bien la Peene") ; et nous allons y retrouver quelques vieilles connaissances...
Oui, donc. Nous sommes toujours en 1630, en Poméranie allemande. Après la chute de la ville de Grimmen aux mains des Suédois et (surtout) de leurs alliés, nous voici donc arrivés au début de l'hiver ; époque à laquelle les armées de toutes nations ont pour habitude de prendre leurs "quartiers", en attendant le gai printemps et le retour des hostilités.
Le général impérial Torquato Conti (dit "Le Diable") a justement envoyé au Roi de Suède Gustave-Adolphe un émissaire pour lui proposer une trêve ; il s'est trouvé quelque peu dépité lorsqu'il reçut en guise de réponse : « Les Suédois sont soldats en hiver comme en été [...] en tous cas les Impériaux sont libres de se reposer , quant à nous, nous ne resterons pas oisifs ! » (D'après Schiller, "Histoire de la Guerre de Trente Ans").
Les Impériaux et Ligueurs vont donc devoir se préparer à subir une guerre d'usure au cœur de l'hiver ; pendant ce temps dans le camp suédois, on se languit du grand assaut tant attendu... et on réfléchit au moyen de passer les prochains mois avec le ventre plein.
Car, même si la Foi la plus ardente amène chaque soldat et mercenaire du "Lion du Nord" à ne pas douter de la victoire imminente de la cause protestante, chacun sait bien qu'un sac vide, ça ne tient pas debout ! Et même si des victuailles arrivent régulièrement de Scandinavie par navire (poisson séché et biscuits, miam !), il semble préférable d'assurer les arrières en se constituant un garde-manger bien garni grâce aux ressources locales. Même si les responsables suédois ont fermement interdit pillages et exactions...
Notre aventure débute donc fin décembre, aux portes de la ville de Demmin (également prise par les Suédois quelques mois plus tôt, voir l'aventure "Ça valait bien la Peene") ; et nous allons y retrouver quelques vieilles connaissances...